Pour que Jean-Pierre Caillot et Didier Perrin quittent le SDR !

salociN
Visiteur

/ #56

2016-05-17 01:13

"L'immobilisme est en marche, et rien ne pourra l'arrêter..." Je n'arrive plus à me souvenir si cet aphorisme est d'Edgar Faure ou de Jean-Pierre Caillot ?


OUI le club est "bien" géré financièrement. Et encore heureux, car si les dirigeants, bons princes, laissaient finalement "leur" cagnotte aux petits qui viennent les humilier en Coupe de France, que leur resterait-il pour pouvoir se cacher ?

...et bien tout ceci :
- Une très précaire stabilité au plus haut niveau du foot français
- Une ambition se limitant à sauver chaque année sa peau dans l'élite en mode commando, sans le moindre plan pour finir ne serait-ce que dans la première moitié du classement
- Une lamentable gestion humaine et sportive
- Un discours à sens unique sur les valeurs et le respect
- Une gestion d'entreprise de beau parleur paternaliste (n'est pas Godin qui veut)
- Une détestable communication arrogante et hautaine
- Un esprit rassembleur et une volonté fédératrice aussi forts qu'un Machiavel, zizanie locale et médiatique à la clé
- Un dédain quasi stalinien de tout ce qui s'oppose ou peut aider à la "gestion" du club, qu'ils soient des quidams ou des figures historiques du club hautement respectables

Tout ceci peut se rassembler sous une vaillante bannière : celle de l'AMATEURISME.

Et pour les supporters, cette médiocre masse vociférante ne servant que de faire-valoir et de variable d'ajustement financière, que reste-t-il en fin de compte ?
La sensation amère d'un club délaissé par les siens, très peu aimé par les autres, humilié et dévalorisé, récoltant ainsi ce qu'il a semé avec les années : frustration et dépression, parfois ponctuées de trop rares moments de joie, mirages dans la vie du club.

Faudra-t-il attendre que le Stade de Reims retombe en CFA pour voir enfin ces tristes sires assumer leurs propos antérieurs, et prendre ENFIN leurs RESPONSABILITÉS ?

Voilà pourquoi, moi qui ne signe pratiquement jamais de pétition, je signe celle-ci sans la moindre hésitation, sachant néanmoins avec quel dédain un simple revers de la main la balaiera.


"Il faut changer les hommes" : ça c'est un aphorisme signé Jean-Pierre Caillot. Un homme qui, lui, ne change pas...