LE MARIAGE GRIS : CE QUE L'ON NOUS CACHE

Bonjour,  

Je ne raconterai pas ici mon histoire qui serait un copié collé de tout ce qui a été déjà exprimé par toutes les victimes. Quand ce coup dur m'est arrivé, j’ai cherché, et encore maintenant, des associations, des conseils, des démarches à entreprendre, mais je ne lis que des pleurs et des gémissements. Quelle action concrète faut-il engager pour obtenir réparation de ce que l'on a subit? Que faut-il faire pour ne pas être traité d’agresseur alors que l'on est la vraie victime?? Et beaucoup d'autres questions...... Aujourd'hui, je n'ai trouvé AUCUNE REPONSE A MES INTERROGATIONS. Aucun secours.ni des forums, ni des associations, ni même de mes avocats. J'en ai eu trois et parallèlement, j'en ai contacté de nombreux autres en consultations. En fait, on parle mariage gris, mais lors du traitement de l'affaire, cela revient à se battre contre une séparation et un divorce habituel. Il ne se passe rien de spécial. Pire, lorsque j'ai tenté d'orienter et de recentrer les débats vers ce type de situation, je me suis fait lâcher par mes conseils.

La France Terre d'accueil protège mieux que nous tous ces ressortissants qui nous ont escroqué, arnaqué, dépouillé, et même emprisonné. que disent les politiques à ce sujet? L'opinion se soulève aussitôt contre ceux qui tentent de limiter ce fléau. Tant que l'on n'a pas été brûlé, on ne ressent pas la douleur. Ceux à qui on en parle, vous répondent que si cela nous est arrivé, c'est qu'on l'a bien voulu à la base. Comment leur montrer que l’on est victime dune manipulation hors pair.   Actuellement, je pense à intenter une action trop énorme pour être seul à m'y lancer.ET toujours PERSONNE pour en discuter.

J’envisage donc de porter plainte contre l’administration pour défaut de mise en garde envers les mariages avec des étrangers, enquêtes superficielles et délivrance trop rapide des autorisations.   J’attends vos conseils et suggestions.   Merci à tous ceux qui me répondront, car ainsi, nous pourrons enfin tenter de réagir concrètement plutôt que de continuer à nous plaindre indéfiniment.