La problématique soulevé par Mr. METTENS est intéressante car elle met en lumière la concomitance de mandats publics résultant d'une élection ou d'une nomination avec des activités privées ou publiques
Je vous fournit ici ma position

Je suis POUR l'engagement en politique lorsqu'on a des idées à défendre
POUR la limitation de la durée des mandats politiques (Maximum 2 mandats consécutifs , dans max 2 niveaux de pouvoir différents) de façon à donner le meilleur de soi même
et je suis POUR la mise en congé temporaire de ses activités avant d'entrer en politique, le temps d'exercer un mandat public : ie, se consacrer à 100% à sa tâche d'élu pour ensuite retrouver sa place précédente, sans perte de fonction, de responsabilités et en récupérant son salaire précédent

La fonction politique ne doit pas être un métier perpétuel mais bien le fruit d'un engagement en faveur d'autrui, une occasion de faire évoluer la société vers un mieux.
La professionnalisation de la politique empêche la réalisation de réformes ambitieuses car elle supprime et élude toutes les actions potentiellement impopulaires.
Ce volet doit changer dans les prochaines années, tout comme une meilleure écoute de la lame de fond populaire, plus fréquemment impliquée qu'une fois tous les 4 ans.

Je propose à M. Mettens de se mettre en congé temporaire et d'y revenir une fois qu'il aura donné ce qu'il avait à donner aux flobecquis.

#47: FredC - A propos de la démocreatie directe  

 

Je suis parfaitement d'accord, d'autant plus que c'est precisement ma situation ! Je dispose d'un conge politique qui est, ca va de soi, proportionnel a la taille de la Commune. Il en effet evident que le temps disponible pour realiser une tache est parfaitement objectivable. J'ajouterai que mon salaire est reduit a due concurrence de mon conge politique.