Non à l'abrogation des décrets de 1950 pour les enseignants.

Quoted post


Visiteur

#501 Re: même pas 6000 signatures

2014-04-03 20:00

#500: francoise scoccia - même pas 6000 signatures

Chappe de plomb peut-être, mais il y aurait des moyens d'être collectivement plus combattifs. Pourquoi toujours pas de tribune dans les médias, alors que nous avons nombre de signataires éminents et non suspects d'être pris dans les jeux d'intérêt syndicaux ? Au moment de dresser l'inventaire peillonesque et de prévenir le nouveau ministre ! Ce moment est à saisir !

A moins que les jeux ne soient déjà faits ? Que les professeurs de prepa aient déjà quitté le navire, par exemple ?
Comment savoir, nous, quelques professeurs du second degré isolés dans notre sous-préfecture ?

Réponses

VT

#505 Re: Re: même pas 6000 signatures

2014-04-04 10:52:26

#501: - Re: même pas 6000 signatures

Les professeurs de prépas n'ont pas quitté le navire, hormis peut-être quelques naïfs croyant que l'UPS va les protéger de ce qui les attend dans le cadre d'une absorption par l'Université. Par contre, un mouvement ne s'organisera vraisemblablement (grâce à la coordination cpge et FO pricipalement), qu'en réponse à une nouvelle agression caractérisée contre les prépas, la démolition du statut de 1950 n'ayant pas réveillé le secondaire, du fait de la désinformation dont les syndicats cogestionnaires sont responsables.

Bd. P.

#512 Re: Re: même pas 6000 signatures

2014-04-04 18:33:08

#501: - Re: même pas 6000 signatures

Non, il ne faut pas désespérer...

Il faudrait évidemment que le nombre de signataires soit plus élevé. Mais 6000 (demain sans doute) ce n'est pas si mal. Et surtout les commentaires ici créent une chaîne. Je les lis avec intérêt. Il faut créer une coordination nationale, qui se manifestera à la prochaine attaque de notre nouveau ministre. FO reste mobilisé...

Restons aus aguets.

impliqué

#515 Re: Re: même pas 6000 signatures

2014-04-04 21:23:08

#501: - Re: même pas 6000 signatures

Non , les profs de prépa n'ont pas quitté le navire.

Et même ils aimeraient bien que leurs collègues du secondaire, pour l'instant exposés en 1ere ligne , ouvrent les yeux, les oreilles, et signent, enfin, massivement.

Tous vigilants et solidaires.