Non à l'abrogation des décrets de 1950 pour les enseignants.

Quoted post

francoise scoccia

#540 Re:

2014-04-07 14:50

#539: -

tout à fait : snes qui est dans le mensonge éhonté...(ils ont répondu à mon analyse juridique de leur analyse , que sa lecture était édifiante..ils sont incapables d'opposer le moindre contre arguments) pour des raisons proprement politiques et d'appareil..à qui veut mon analyse elle peut être envoyée à qui en fera la demande au responsable de la pétition..envoyée au Snalc qui paraît perplexe..

Réponses

VT

#541 Re: Re:

2014-04-07 17:16:41

#540: francoise scoccia - Re:

ncoise scoccia - Re:

Si un syndicat prétendant prendre part à une négociation de ce niveau sur les statuts (combien de professeurs concernés, 400 000?) n'a pas d'expert juridique pour assurer sa doctrine sur les questions qui nous concernent (surtout quand on nous répète que les complexités du droit fragilisent actuellement les situations et qu'il faudrait rationaliser tout cela pour que les collègues ne se retrouvent pas perdants devant le tribunal administratif), ce syndicat fait preuve ou bien d'incompétence, ou bien de malhonnêteté. Nos cotisations suffisent assurément à financer une expertise juridique solide: qu'on ne cherche pas à nous endormir sur ce point, par conséquent des réponses concises sur les points cruciaux doivent être disponibles.

Les apparatchiks ont pris l'habitude fâcheuse de se soustraire aux questions dans une société qui ne tolère plus cette attitude. Justement, je pense qu'ils auront des comptes à rendre à leurs adhérents avant les élections professionnelles, et il nous appartient de les exiger pour clarifier le choix de chaque électeur. Les questions juridiques que pose ici Françoise Stoccia (#47, 48,49, et d'autres) doivent recevoir réponse du SNES et du SNALC. Et sinon, que d'autres syndiqués les posent aux élus de leurs syndicats, au lieu de se laisser endormir par des réponses pseudo-politiques: peu importerait le droit (très drôle dans notre société!) et seule compterait l'aide que nous apporterait le SNES dans les lycées, trop aimable. Encore faudrait-il au moins que nous ayons confiance: aujourd'hui, les actes ont parlé et nous disposent nécessairement à la méfiance.