#11: -  

 Pour info : la presse ne s'intéresse pas à l'histoire de Milan. Je les ai contactés à plusieurs reprises. Ils sont débordés, n'ont pas le temps. Allons !!! Je n'y crois pas.

Seules les intéressent les pages de pub, les fêtes de noël et la politique.

La vie d'un chien comme Milan n'a aucun intérêt pour eux. Aucun, et puis il ne faut pas trop faire de vagues sans doute...

Milan reste un animal et nous les défenseurs des animaux n'avons pas notre place dans les médias. Nous sommes souvent critiqués, moqués, nous ferions mieux de nous occuper d'autre causes plus importantes.

Mais qu'importe, je lutte pour ceux en qui je crois,  les animaux, qui jamais ne nous abandonnent et nous aiment jusqu'au bout qu'on soit riches, pauvres, malades, handicapés. Ils nous sont fidèles à jamais et je serai attentive à ce qu'on les respecte pour ce qu'ils sont : des êtres sensibles et capables de souffrances. 

#33: Françoise MARIANI - Re: POUR SAUVER MILAN 

Votre propos est on ne peut plus juste Madame;

je suis handicapé et j'ai toujours traité mes petits chats recueillis à 2 ou 5 mois... tels que mes égaux, en les éduquant, en prenant grand soin d'eux avant comme après un accident de la vie. Je n'ai reçu que de merveilleux cadeaux dans leurs yeux... que de magnifiques souvenirs !! Quelle tristesse à leur disparition!

Une charmante amie de longue date, mariée, mère de famille qui respire le bonheur, la joie de vivre, me dit de son chien " il fait partie de notre famille , mon mari et moi sommes fous de lui sans pour autant tout lui permettre, c'est un enfant de plus dans la maison, les enfants l'adorent ". Combien cet attachement nous enrichit et combien je comprends votre combat Madame, à présent il est aussi le notre mais pas le seul, loin de là... Il ne faut pas désarmer !