Dans un pays ou le droit et la sécurité est le facteur essentiel comment peut on accepter cette décision de l ' état alors que la sécurité faisait parti du programme électoral du président.
Que vont devenir ces familles à t ' on pensait à leur avenir.
Nous sommes de tout coeur avec vous dans le combat et nous vous soutenons.

Monique Jean françois -  

 .Je partage complètement vos propos et trouve affligeant qu'on nous parle de sécurité quand dans le même temps on fait des coupes sombres dans les effectifs du maitien de l'ordre, mais j'ai quand même du mal a comprendre pourquoi nous quand on défend aussi nos emplois , les CRS sont là avec matraque et     lacrymogène. Je travaille dans une entreprise  de BERGERAC ou 110 suppressions de postes sont prévues fin mars sur 148 !!!! quand M.SARKOZY  est venu a MONTIGNAC nous voulions l'interpeller pour lui faire part de notre mécontentement   nous avons été refoulé "manu militari" dans une rue "rue des fontaines"  pendant  toute la visite du Président (environ 5 heure confinées dans cette rue escadron de CRS devant et derrière nous, le représentant syndical a même été emmené au poste de Gendarmerie du Bugue, nous aussi on des enfants qui vont être descolarisés puisque certains salariés pour ne pas perdre leur emploi ont accepté une mutation à SORGUES (AVIGNON) nous aussi on a des familles !!!  ce que l'on voulait c'était juste qu'il nous entende , nous n'étions pas  des terroristes, mais juste des hommes et des femmes inquiets pour leur avenir !!! ALORS OUI je comprends mais pas tout, l'angoisse des familles de CRS  n'est pas plus intolérable que la notre et eux ils ont été reçus et entendus (enfin pour l'instant!!)