Plainte devant la CPI la HAYE contre le Gouv et Ennahda et les sa
« Quand vous agissez au nom de la conscience, vous êtes plus fort qu’aucun gouvernement ».
Raphaël Lemkin
A Monsieur le Procureur de la Cour Pénale Internationale (CPI) de la Haye.
En Avril 2012, Madame Ahlem Hannachi, de nationalité tunisienne, Enseignante-Chercheur de Droit Civil et Doctorante en Droit Pénal et Politique Criminelle à l’Université Panthéon-Sorbonne Paris1, Philosophe et spécialiste en Politique Criminelle, intente une action devant la Cour Pénale Internationale de la Haye contre le Gouvernement tunisien post-révolution, le Parti Ennahda et ses responsables ainsi que les chefs des groupes salafistes.
CONTRE :
Monsieur HAMADI JBALI : Le chef du gouvernement provisoire
Monsieur MONCEF MARZOUKI : Le Président de l’Etat tunisien provisoire,
Monsieur MOUSTAPHA BEN JAFFAR : Le Président de la Constituante
Monsieur Nourredine BHIRI : Le Ministre de la Justice
L’appareil judiciaire par l’intermédiaire de son Ministère Public
Monsieur SAMIR DILOU : Le Ministre des Droits de l’Homme et de la Justice transitionnelle :
Monsieur RACHED GHANNOUCHI : le chef du Parti ENNAHDA
Le Parti Ennahda
Monsieur SADOK CHOUROU : Député d’Ennahda a la Constituante
Madame Souad Abderrahim : Députée d’Ennahda a la Constituante
Monsieur Moncef Ben Salem : Le Ministre de l’Enseignement Supérieur
Monsieur Ali Larayedh : Le Ministre de l’Intérieur
Monsieur Habib KHEDER (Neveu de Monsieur Rached GHANNOUCHI) : Le Député d’Ennahda à la Constituante
Monsieur Seifallah Ben Hassine (Abou YADH) : Le chef des salafistes chargé de l’action.
Monsieur le Cheikh Béchir BEN HASSEN (Cheikh des salafistes : MSAKEN-TUNISIE)
Monsieur AlKhatib Idrissi : Chef des salafistes chargé de l’idéologie résident à Sidi Ali Ben Aoun (Sidi Bouzid).
Monsieur Mohamed Bakhti : Chef des salafistes étudiants.
VU l’Article 6 du Statut de Rome, Chapitre II
L’incitation à la commission de génocide : des tunisiens et des juifs
VU l’Article 7 du Statut de Rome, Chapitre II : Conspiration en vue de commettre un Crime Contre l'Humanité
VU le Chapitre VII de la Charte des Nations Unis : Atteinte à la Paix et à la Sécurité Internationale
Nous avons l’honneur de vous informer :
Que les tunisiennes et les tunisiens, n’ont plus qu’un seul espoir, celui du DROIT, du Droit Pénal International Universel, face au Populocide (Génocide) qui se prépare avec une immoralité étrangère à l’humain à l’éthique et à la Loi.
Après une révolution qui a ébranlée l’univers entier, en Tunisie, Etat souverain pourtant, un parti (secte) y commet des exactions des plus crapuleuses, contre l’humain et l’humanité.
C’est dans ces circonstances, en tant qu’être humain, j’ai autorité au nom de la justice de porter à votre connaissance le risque de massacre des tunisiens et des juifs.
Le gouvernement provisoire actuel issue du Parti ENNAHDA, non seulement est l’instigateur et le maître d’ouvrage de ces exactions caractérisées et répétées, mais aussi ne montre aucune réprobation pour les faits criminels perpétrés tous les jours sur les tunisiennes et tunisiens.
Les tunisiennes et tunisiens sont dans une impasse mortelle, et leurs seule issue n’est que judiciaire, ils n’ont aujourd’hui que la justice et la vérité comme mécanisme possible pour retrouver leurs droits à la vie et à la dignité et leurs liberté volée.
Dans de telles circonstances, la justice peut apporter une condamnation infaillible, et la réprobation universelle de tous les méfaits sur un peuple qui a subi l’infamie du siècle, une tragédie des plus tragiques et des plus indicibles de l’histoire tunisienne qui se prépare et qui est en marche, un projet d’holocauste total, irréfragable et sans précédent qui se prépare pour les tunisiens. Un TUNISIOIDE (Génocide) qui n'est point l'analyse d’une illusion, celui d’un crime qui va se perpétrer sur les tunisiens et qui va être sans précédent et inscrit dans l’histoire la plus douloureuse de la Tunisie, et même dans le Panthéon du Patrimoine universel des actes inhumains.
Le gouvernement actuel nourrit tous les fantasmes du parti dont il est issue ENNAHDA et s’épanouit dans des instincts meurtriers les plus horribles, on ouvrant les portes aux dangers les plus horribles de la nature humaine.
La conscience universelle, est le seul et unique justicier du peuple tunisien, contre ce crime atroce (le Génocide) qui se prépare et qui plus est, est terroriste et international, et dont l’ampleur donne le sentiment de toute-puissance et d’impunité tellement domestique à ces tyrans instigateurs (ENNAHDA et ses fusils de chasse les SALAFISTES de toutes tendances).
J’en appelle aussi à tous les membres de toutes les sociétés dont l’Etat de droit est le seul garant de la liberté individuelle et des droits fondamentaux, de consulter leurs conscience et de condamner la responsabilité pénale de ce gouvernement issue du parti islamiste ENNAHDA les SALAFISTES, et de l’attribution à ce contentieux tout l’intérêt qu’il mérite, pour que soit examiné par la juridiction pénale internationale, et de porter la lourde qualification juridique de crime contre les tunisiens et tunisiennes et des juifs, et par conséquent contre l’humanité,
Et
DIRE,
Que ces actes constituent un danger interétatique qui est inclut dans la catégorie des délits du « Droit des gens » (Droit Pénal International) ;
Ce n’est pas seulement un point de solidarité formelle, que la répression universelle d’un tel agissement, mais c’est surtout le principe fondamental de juger tout délinquant sur le lieu de son appréhension (principe du forum locdeprehensionis) quels que soient le lieu ou le crime a été commis et la rationalité de l’auteur.
Le Parti ENNAHDA les SALAFISTES (l’aile armée) est un parti populocide, ethnocide et veut l’imposition forcée d’un processus d’acculturation et de Génocide, et d’imposer à une Nation libre un modèle culturel religieux jugé jusque là contraire à toutes les normes de justice et de droits de l’homme universelles et faire disparaître, ceux qui ne s’y résignent pas, par la force d’une prétendue République islamique qu’il veut instaurer de force au détriment du peuple tunisien et lui voler sa Révolution légendaire pour la dignité et la liberté.
Toutes les exactions subies par les tunisiennes et tunisiens, sont qualifiées non à tort d’actes de barbaries, et qui sont des atteintes à la liberté et la dignité des tunisiennes et tunisiens. Ce sont des actions exterminatrices, dirigées contre une collectivité tunisienne qualifiée d’ «APOSTATE » parce que « DEMOCRATE » et « LAIQUE » et « PACIFIQUE » et « JUIVE », qui subit tous les jours depuis la Révolution toutes sortes de manifestations de brutalités systématiques et dirigées contre elle. Sont visés, ainsi la destruction de toutes valeur de survie du libre arbitre et de la dignité et un attentat contre les droits individuels avec l’instauration d’un déséquilibre délibéré des relations entre l’individu et la collectivité, et nous assistons après une magnifique Révolution pour la liberté et la dignité à une époque barbare qui devient de plus en plus coutumière et qui s’institue sans DROIT ni JUGE.
Ce gouvernement repose sur la seule volonté de nuire, non seulement à l’individu (citoyen tunisien et tunisienne), mais surtout à toute la collectivité tunisienne et menace l’ordre social interne et aussi international. Cette lutte acharnée contre les tunisiens se caractérise par une destruction organisée et systématique de la « Tunisianité » (patrimoine culturel des tunisiens).
La « Tunisianité » (الهوية التونسية) est une culture qui appartient au patrimoine universel, et à la culture international et par là même au trésor de l’humanité entière. La destruction de la « Tunisianité » (TUNISIOCIDE= GENOCIDE) est un vandalisme dirigé contre la culture mondiale.
Le gouvernement tunisien issue du Parti ENNAHDA cause un dommage irréparable aux tunisiens auxquels hélas ce dernier par un génie machiavélique lui a permis de confisquer sa révolution et son aspiration à la justice, la paix et la dignité, c’est aussi à l’humanité toute entière qu’il atteint par cet acte vandalisme.
Les intérêts moraux des tunisiens sont lésés par ses actes de barbaries, mais aussi leurs intérêts économiques. Faute d’une convention internationale qui assure la répression de ces crimes, j’en appelle à la reconnaissance de la compétence universelle.
Le gouvernement tunisien issue du Parti (secte) ENNAHDA cause un dommage irréparable aux tunisiens auxquels hélas ce dernier par un génie machiavélique lui a permis de confisquer sa révolution et son aspiration à la justice, la paix et la dignité, c’est aussi à l’humanité toute entière qu’il atteint par cet acte vandalisme.
Les intérêts moraux des tunisiens sont lésés par ses actes de barbaries, mais aussi leurs intérêts économiques. Faute d’une convention internationale qui assure la répression de ces crimes, j’en appelle à la reconnaissance de la compétence universelle.
L’infâme Parti (secte) ENNAHDA veut nous imposer un code populocide (qui cause la mort, la ruine du peuple). Leurs plan consiste un « affreux plan d’extermination et de dépeuplement général (nationocide) le meurtre d’une nation toute entière (meurtre de masse) ».
Tous les secteurs de la société tunisienne sont affectés par l’agression salafiste-nahdaouite (administration, police, le Droit, la Justice, la Finance, le Statut des juifs tunisiens, etc..) Pour la destruction d’une partie des tunisiens (femmes, enfants, juifs, démocrates, laïques, etc...) en s’attaquant à leurs vie, à la permanence du groupe auxquels ils appartiennent et à l’héritage culturel de la communauté tunisienne.
Leurs modes d’opérer est multiples, et le Génocide se réalise au travers d’une attaque synchronisée portée contre les différents aspects de la vie du peuple tunisien :
1. Dans le domaine politique
Destruction des institutions du gouvernement autonome et instauration d’une administration caduque sur le modèle islamiste (wahhabiste du 7ème siècle de l’époque prophétique islamique) ;
2. Dans le domaine social
Destruction de la cohésion de notion familiale tunisienne, et extermination ou élimination des membres de l’intelligentsia formant l’élite spirituelle et intellectuelle,
3. Dans le domaine culturel
Interdiction ou destruction des institutions et des activités culturelles, substitutions de l’enseignement théologique à l’enseignement des Arts et de la littérature et la philosophie (les sciences humaines libérales) afin de faire barrage à la pensée humaniste, considérée comme dangereuse par ce Parti « occupant », dans la mesure ou cette pensée favorise la conscience nationale.
3. Dans le domaine économique
Transfert des richesses aux seuls membres du Parti et de leurs adhérents, et à ceux qui leurs ont permis d’avoir le pouvoir. Affamant ceux qui ne sont pas des partisans, et des salafistes et l’extermination massive de ces derniers avec les juifs.
Attendu qu’avant d’exposer la chronologie des faits, Madame Ahlem Hannachi, démontre que la présente plainte à la CPI est recevable.
(Cette plainte sera adressée à la Cour Pénale Internationale de la HAYE, avec les preuves à l’appui ainsi qu’une rédaction justifiée en faits et en Droit.)
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