Réunionnais mobilisez-vous! Laissons nos enfants respirer!

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NE SACRIFIONS PAS NOS ENFANTS

pour une mesure d'intérêt non démontré 

LAISSEZ NOS ENFANTS RESPIRER

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Le changement n'a pas lieu en gardant le silence

Rappel de ce qui est imposé aux adolescents à partir de 11 ans :

Protocole éducation nationale: “Le port du masque « grand public » est obligatoire dans toutes les situations où le respect des règles de distanciation n’est pas garanti.”
Dans les faits

  • Port du masque toute la journée, avec uniquement la possibilité de l’enlever lors du repas, soit une vingtaine de minutes, et dans certains établissements mais pas tous, lors de l’EPS

  • Port du masque dans les transports scolaires avec, dans de nombreux cas, intervention des gendarmes pour contrôle

Protocole éducation nationale: “L’avis du médecin référent déterminera les conditions du port du masque pour les élèves présentant des pathologies.”
Dans les faits

  • Les médecins généralistes se voient intimer l’ordre par l’ordre des médecins de ne pas faire de dérogation au port du masque. Ceux qui outrepassent cela, se voient refuser leur ordonnance par l’établissement

  • Il appartient aux parents de fournir des masques

  • Règle de distanciation physique

  • Le lavage des mains doit être réalisé, a minima :

    • à l’arrivée dans l’établissement ; avant de rentrer en classe, notamment après les récréations ; avant et après chaque repas ; avant d’aller aux toilettes et après y être allé ; après s’être mouché, avoir toussé, avoir éternué ; le soir avant de rentrer chez soi et dès l’arrivée au domicile.

  • Il est à noter que ceci est infaisable avec de l’eau et du savon, compte tenu du nombre d’élèves comparativement au nombre de points d’eau… L’utilisation du gel hydroalcoolique est donc généralisé, ce qui n’est pas sans questionner au vu des produits chimiques qu’il contient.

source Futura Sciences du 10 avril 2020



Dr Nicole Delépine pédiatre cancérologue pour France Soir :

Tribune : Le gouvernement fait enfin mine de reconnaître que les enfants sont innocents du Covid, qu’ils en risquent moins que de la grippe et qu’ils ne transmettent pas le virus. Mais  -en même temps- le gouvernement diffuse un clip mensonger terrorisant les enfants qui veulent embrasser leurs grands-mères en prétendant qu’ils pourraient ainsi les tuer. Et -en même temps- le ministère de l’éducation maintient contre toute logique l’obligation du masque pour les enfants et adolescents. Il faut exiger du ministère de l’éducation nationale d’aller plus loin et rapidement pour mettre fin à l’obligation du masque pour les enfants et adolescents.

Les masques, portés hors des salles d’opérations, ont des effets secondaires importants

Pour tous les naïfs, et plus pervers pour certains, qui serinent à longueur de tweets ou d’antennes radio et TV que les chirurgiens et soignants portent bien leurs masques toute la journée sans effets nocifs (ont-ils des études scientifiques à brandir ?) le Dr Brihaye répond d’emblée :

« Ils provoquent un déficit en oxygène pouvant causer des céphalées, de la fatigue, une baisse de concentration, des nausées, comme dans le mal des montagnes, dû à une diminution de l’oxygène dans l’air ambiant. De plus, le CO2 qui ne peut être expiré correctement, s’accumule rapidement. Après une minute de port du masque, l’air inspiré peut atteindre des valeurs de CO2 dépassant plusieurs fois les limites tolérées dans les lieux de travail (900ppm, Codex 6 du code du travail). »

N’oublions pas que les salles d’opération sont des milieux protégés, en température, humidité et filtration de l’air.  Nos savants experts médiatiques mentent ou sont ignorants. Dans les deux cas, il serait urgent qu’ils se taisent.

 « Le masque, porté sur le nez dans des pièces non conditionnées en température et humidité et non protégées des micro-organismes (comme l’est une salle d’opération), devient rapidement un bouillon de culture. Il en résulte que les enfants que je vois en consultation depuis la rentrée présentent de plus en plus souvent des rhinites croûteuses et/ou des infections nasales et sinusales. »

 Il rappelle que pendant les épidémies virales, il faut aérer au maximum, le contraire de ce qu’il fut recommandé au début du Covid.  Idem pour le nez de nos enfants, il faut l'AERER !  

« Il en est de même pour les nez de nos enfants, qui doivent rester ventilés pour y éviter la concentration anormale de germes en tous genres.

En plus, puisqu’un virus peut se concentrer dans le masque, lorsqu’on l’enlève, le virus peut se concentrer dans les mains et ainsi se propager. D’autant plus qu’il n’y a pas de système de décontamination des masques usagés dans les écoles… »


Le pire n’est-il pas l’impact psychologique qui casse l’enfant et  les conséquences psychosociales?

« Le port du masque et la distanciation sociale induisent une dissolution du lien social, du contact visuel et physique si important pour le développement et l’épanouissement d’un enfant, et ainsi pour le renforcement de son système immunitaire. La respiration est la base des techniques de gestion émotionnelle. Or ce n’est pas à nos enfants de porter le poids des angoisses, des peurs de la mort des adultes. »

  • Une situation traumatogène à long terme, décrite par une psychologue

Une variable majeure dans le développement des troubles psychologiques liés à la situation sanitaire : le temps. En psychologie, les effets d’une situation anxiogène sont le plus souvent lents et retardés. Donc une grande vigilance d’observation s’impose dans les semaines et mois à venir car les manifestations de stress de enfants risquent de s’accroitre au fil du temps. L’individu peut en général plutôt bien s’adapter en situation de stress aigu (temporaire) mais s’épuise physiquement et psychiquement lorsque le stress se chronicise. Aujourd’hui, à deux semaines de la rentrée, les enfants s’adaptent dans l’ensemble plutôt bien aux mesures mais il en sera très probablement autrement si le protocole sanitaire continue à être appliqué tel qu’il l’est aujourd’hui sur plusieurs mois.
Gwenaelle Persiaux, psychologue clinicienne

  • Culpabilisation : pourquoi faire porter aux enfants la responsabilité de protéger leurs grands-parents ? spot TV et autres ...

  • Mesures appliquées sous la contrainte, la peur, la sanction

Punitions, heures de colles, contrôles par des gendarmes aux abords des collèges...
Une patrouille a bien été envoyée pour surveiller l’application des mesures anti-Covid dans un lycée agricole à Davayé. Une initiative qui a fait réagir sur les réseaux sociaux mais qui n'a rien d'un cas isolé.
source Libération du 5 septembre 2020

A la Réunion aussi, des gendarmes aux abords des établissements.

  • Risque de tests et d’isolement imposés



PARTICULARITE REUNIONNAISE : LA CHALEUR CANICULAIRE APPROCHE

 le masque déjà difficile à supporter 8h/jour par les élèves va l'être plus encore en période de forte chaleur ; à la Réunion, le climat est tropical et en été l'air est humide.

L'été austral correspond à la saison chaude et humide, de mi-octobre à avril. La température de l'air peut atteindre 35°C et une moyenne de 28°C durant 6 mois. Avec un taux d'humidité pouvant atteindre 80 à 95%.

Chaque année les élèves se plaignent des problèmes de ventilation, des ventilateurs inefficaces et défectueux et expriment leur souffrance et difficultés dans les apprentissages ! Cette année on rajoute le masque. Mais où va-t-on comme ça ?

Tous les phénomènes déjà vécus en ce moment avec les masques vont être exacerbés par la hausse des températures : sensation d'étouffement, problèmes cutanés, malaises, coup de chaleur, déshydratation, crises d'asthme, maux de tête...

Porter un masque n’est pas naturel et peut modifier notre façon de respirer. Hyperventilation, respiration par le nez où se trouve, du fait du masque une concentration anormale de germes en tous genres… Autant de mauvaises habitudes qui favorisent la production de chaleur et d’humidité...augmenté par la température et l'humidité ambiante.


Dr Nicole Delépine pédiatre cancérologue pour France Soir :

Les mesures de distanciation sociale et les masques sont totalement inutiles pour les enfants de zéro à 19 ans 

et nuisent au bon fonctionnement de l’école tellement indispensable au bien-être des petits et à l’avenir de la société. Ne cédons pas à l’hystérie-panique. Laissons-les profiter pleinement de la rentrée scolaire.

Ne sous-estimons pas les graves troubles psychologiques liés au port du masque, à l’impossibilité d’échanges non verbaux avec l’interlocuteur qui porte lui aussi un masque. Cette position de médecins est complètement à l’opposé de celle des pédiatres qui s’étaient exprimés rapidement pour rassurer les familles en mai, afin que l’ouverture des classes se fasse sans distanciation sociale entre les enfants et évidemment sans masques. 

Pourquoi ce discours qui verse dans la dépression collective et menace fortement les enfants et adolescents engagés par cette psychose collective instrumentalisée par les politiques ?

Ne sacrifions pas nos enfants aux appétits financiers qui manipulent nos médias. 
 

Le port du masque chez un enfant peut être assimilé à une maltraitance et nous supplions nos collègues sincères d’ouvrir les yeux.

Imposer le port du masque à l’extérieur est effectivement incohérent avec le caractère très peu probable de la contagion en milieu ouvert (elle non plus n’a jamais été démontrée). Mais ce qui est encore plus incohérent, est de réclamer des masques quand la maladie a disparu alors qu’ils ne les réclamaient pas et encore moins l’obligation d’en porter, quand leur utilité éventuelle pouvait se discuter (en février et mars).

Il est très incohérent et extrêmement grave de réclamer des masques pour les enfants, car ils ne contaminent pas les autres.

Sur les plus de 3700 articles ayant pour sujet l’enfant et le Covid répertoriés par Pubmed le 17/8/2020 et les 70 spécifiquement dédiés à la transmission éventuelle par les enfants, aucun n’apporte la preuve d’une transmission d’un enfant à un autre enfant ou à un adulte dans le monde réel .

 

Il est de notre responsabilité de nous poser les bonnes questions :

 a-t-on évalué les effets sur leur concentration et le manque d'oxygénation alors que leur cerveau tourne à plein régime ?

❌ a-t-on évalué les risques sanitaires liés au port du masque car on sait bien qu'ils ne pourront pas ne pas le toucher - risques d'infection par les staphylocoques, streptocoques et autres champignons qu'on retrouve sur les masques suite à une mauvaise utilisation ?

 X a-t-on évalué l'impact psychologique et sociétal ?

 

MASQUES OBLIGATOIRES SOUS PEINE DE SANCTIONS ET D'EXCLUSION …

ET TOUS CERTIFICATS MEDICAUX REFUSES … UNE HONTE !!!

 

NON A L'OBLIGATION DE PORTER UN MASQUE EN CLASSE

POUR LES ELEVES DE PLUS DE 11 ANS

 

Nous savons désormais que la transmission se fait entre adultes et des adultes aux enfants, mais presque jamais des enfants aux adultes.
Il ne nous reste plus qu’à retrouver le bon sens et l’autonomie en attendant que ce virus respiratoire, comme bien d’autres avant lui, fasse partie de notre environnement familier (colibris-wiki.org/mascarade)

 

LAISSEZ NOS ENFANTS RESPIRER


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