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/ #1564 L’avocat : mieux que le médecin légiste

2011-08-17 11:30

On savait que BRAFMAN est un brillant avocat ne reculant pas devant les dossiers les plus difficiles.
On lit maintenant que, mieux que le médecin légiste, BRAFMAN analyse une situation médicale sans avoir examiné la personne concernée.
Au début de l’affaire, Brafman avait affirmé avec force qu’il ne s’était rien passé entre DSK et la femme de chambre.
On entend à présent que Brafman accréditerait la thèse d’une relation sexuelle consentie, mais qui se serait mal terminée car cette relation ne serait pas payée.
Autre affirmation maintes fois répétée et régulièrement contredite dans les faits: le procureur abandonnera purement et simplement toutes les charges, dès le 1er juillet, puis 18 juillet, puis le 1 er août, puis le 23 août ? Autrement dit pas de procès.
Autre fait accrédité par BRAFMAN , mais contredit par un traducteur officiel choisi par le procureur : une phrase jamais prononcée par DIALLO visant à transformer la vision de toute l’affaire
Ensuite, BRAFMAN a certifié que le dossier médical était vide, alors qu’un rapport médical officiel concluant au viol s’y trouverait.
A propos de ce rapport, Christopher Mesnooh, avocat aux barreaux de New York et de Paris donne son sentiment suite aux conclusions de viol :
C’est un élément clé . Les médecins sont des professionnels et désintéressés. On peut dire ce qu’on veut, contester la version de Mme Diallo, des témoins dans l’hôtel qui n’ont pas vu grand-chose, mais ce rapport médical reste le seul élément neutre et fiable jusqu’à preuve du contraire. Ça peut bouleverser toute la procédure !

Alors maintenant, il devient quand même très difficile de continuer à faire confiance à BRAFMAN, qui donne l’impression de dire n’importe quoi .

On peut même se demander si sa stratégie de réduire DSK au silence n’est pas destructrice pour l’image de marque et la notoriété de DSK, car plus le temps passe, plus la situation sera irréversible, même si le procureur devait abandonner toutes les charges , ce qui semble de plus en plus hypothétique.
Au lieu de laisser DIALLO donner sa seule version, qui jusqu’à preuve du contraire fait foi, n’aurait-il pas été préférable de conseiller à DSK de donner sa version des faits, ce qui s’est passé et dit dans la chambre ?
A condition, bien sur, que DSK soit innocent, ce que BRAFMAN ne cesse de répéter.
Pour l’instant, 2 mots, pas un de plus, ont été prononcés par DSK en 3 mois : NON COUPABLE.
Ça fait très juste pour contrer DIALLO, et le déferlement dans les médias.