CONTRE la loi ESR "Fioraso", parce que POUR la langue française !

C'est typiquement une idée en vogue dans les écoles de commerce, qui produisent, au mieux, des techniciens-idéologues, soumis aux diktats du capital international, prêchant la privatisation et le laisser-faire mercantile sous le couvert des auras pseudo-scientifiques de l'économie et de la finance, au pire d'obséquieux flagorneurs pour les riches et puissants, ne renonçant à aucune bassesses afin de pouvoir rejoindre leurs rangs et se vautrer dans l'opulence, allant jusqu'à glorifier la concupiscence et la cupidité, jusqu'à renier leur culture et trahir leur nation : ceux-là sont des parasites apatrides, agissant sous le couvert d'une idéologie internationaliste, prônant l'ouverture des marchés nationaux, comme si le protectionnisme était garant de la guerre, et le commerce garant de la paix. Quant à Mme Fioraso, aux français d'en juger... Nous avons les mêmes défis au Québec : il suffit pour les chercheurs de maîtriser un anglais fonctionnel, afin de communiquer leurs résultats et de communiquer avec leurs pairs. Pour ce faire il suffit d'enseigner correctement l'anglais comme langue seconde, pas comme langue de travail : chaque domaine possède un jargon spécifique, relativement aisé à assimiler. Donner des cours d'anglais pour astronomes, d'anglais pour chimistes, d'anglais pour mathématiciens, d'anglais pour comptables, d'anglais pour psychologues, etc. est tout simplement absurde. Par ailleurs, pourquoi ne pas miser nottamment sur le réseautage international à l'intérieur de la Francophonie, afin qu'elle puisse enfin servir à quelque chose ? Cela vaudrait également pour les affaires et le commerce, seulement pas au détriment des considérations sociales et environnementales.