Protégeons le Canada ! - Démission de Justin Trudeau

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2017-09-01 17:41

Haïtiens pris au piège

Publié le jeudi 31 août 2017 à 17 h 06 | Mis à jour à 12 h 12

 

Des centaines de demandeurs d'asile haïtiens ont pris à la lettre le message du premier ministre Justin Trudeau, le 28 janvier dernier, sur Twitter. Certains, qui ont tenté d'entrer au Canada par les voies officielles, ont été refoulés aux États-Unis, où leur situation irrégulière leur a valu des ennuis.

ustiDes centaines de demandeurs d'asile haïtiens ont pris à la lettre le message du premier ministre Justin Trudeau,

Un texte de Catherine Kovacs

Le message de Justin Trudeau indiquait que ceux qui fuient la persécution, la terreur et la guerre sont bienvenus au Canada. La majorité de ces demandeurs d'asile sont passés de façon irrégulière par le chemin Roxham en Montérégie, en provenance des États-Unis

 

À ceux qui fuient la persécution, la terreur et la guerre, sachez que le Canada vous accueillera...


— Justin Trudeau (@JustinTrudeau)

 

Mais il se trouve que d'autres demandeurs d'asile ont voulu passer par les voies officielles. C'est le cas de Sheila Prévost.

 

Partie des États-Unis, elle a voulu traverser la frontière au poste de Prescott, en Ontario, le 24 juillet dernier. Elle a réclamé le statut de réfugié, qui lui a été refusé en vertu de l'accord sur les tiers pays sûrs.

Mme Prévost a été refoulée aux États-Unis, où les autorités américaines ont constaté que son visa de séjour était expiré. On l'a immédiatement envoyée en prison.

Depuis le 25 juillet, elle est détenue au Clinton County Jail, à Plattsburgh, dans l'État de New York. Onze autres Haïtiens s'y trouvent également, ayant enfreint la loi américaine sur l'immigration.

Sheila Prévost venait rejoindre son ami d'enfance qui vit à Ottawa, mais il ne peut rien faire pour elle, n'étant pas de la famille.

Selon l'avocat spécialisé en Immigration Stéphane Handfield, c'est l'expulsion qui l'attend.

 

 

« Elle n'a aucun statut aux États-Unis », précise-t-il. Par contre, contrairement au Canada, les immigrants qui ont enfreint la loi aux États-Unis sont envoyés en prison et se retrouvent avec des criminels de droit commun. « Ça fait des années que c'est dénoncé aux États-Unis par des défenseurs des droits de l'homme », ajoute-t-il.

Nadège Jean-Mardy, directrice générale de l'organisme Action d'entraide multifonctionnelle du Canada (ADEM) à Montréal, sert d'interprète auprès des avocats américains. Elle s'est rendue à la prison de Plattsburgh à plusieurs reprises pour soutenir moralement ces détenus. Ils lui ont d'ailleurs confié que, s'ils avaient su, ils seraient passés par le chemin Roxham.

Ils sont désespérés, démunis, traumatisés. Ils ont perdu leurs repères.

Ils fuient la persécution, la terreur et la guerre???????Ils viennent des etats-unis, la guerre a été déclaré quand??Arreter d'esseyer de nous faires verser des larmes pour CES ILLÉGAUX qui n'ont rien a faire içi, a part queter des cheques de BS et des soins gratuits, qu'ils retournent aux états et qu'ils y restent.