Protégeons le Canada ! - Démission de Justin Trudeau

AH NON !!!

/ #7780 C'EST TOUJOURS LA FAUTE À TRUMP........

2017-10-13 16:31

 

INTERNATIONAL

" Les États-Unis quittent l'Unesco, un divorce annoncé avant même l'arrivée de Trump

LES  AMÉRICAINS  AVAIENT   D É J À   Q U I T T É   L'INSTITUTION  ONUSIENNE  EN  1984  " 

12/10/2017 18:14 CEST 


LE PRÉCÉDENT DE 1984

" En 1984, sous RONALD REAGAN, alors motivé par L'INUTILITÉ supposée et les

DÉBORDEMENTS BUDGÉTAIRES de l'organisation, les ÉTATS-UNIS CLAQUE une

PREMIÈRE FOIS LA PORTE. Ce n'est qu'en 2002, sous GEORGE BUSH que le pays A

RÉINTÉGRÉ L' UNESCO.

Les États-Unis claquent la porte. Jeudi 12 octobre, la Maison Blanche indique qu'elle se retire de l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture, accusant l'institution onusienne d'être  " ANTI-ISRAÉLIENNE ".   Une décision qui "n'a pas été prise à la légère", selon le communiqué, mais qui apparaît comme L'ABOUTISSEMENT de PLUSIEURS ANNÉES de TENSION et de DÉSACCORDS entre WASHINGTON et L'UNESCO.

Depuis son arrivée au pouvoir, Donald Trump a remis en cause plusieurs institutions internationales.  Au premier rang desquelles l'ONU.  Après avoir fustigé l'OTAN et s'être désengagé de l'accord de Paris, le président américain s'attaque désormais aux Nations unies, ce "club" où les gens "passent un bon moment", entravé par "la bureaucratie".

Mais la décision de sortir de l'Unesco n'est pas entièrement imputable à l'isolationnisme de Donald Trump. Elle est le point final des nombreux désaccords entre les États-Unis et l'institution onusienne.

2011: les États-Unis arrêtent de financer l'Unesco

Le feu couve depuis des années sur fond de positions controversées de l'Unesco sur Jérusalem et Hébron, défendues par les pays arabes.  En 2011, la Palestine devient un membre à part entière de l'Unesco.  Un vote symbolique qui provoque l'arrêt immédiat du financement de l'institution par les États-Unis, amis d'Israël.

"Nous devions effectuer un versement de 60 millions de dollars à l'Unesco en novembre et nous ne le ferons pas", annonce alors la porte-parole du département d'Etat Victoria Nuland. Un choix fort du président de l'époque  BARACK  OBAMA,  qui, avec cette décision ampute le budget annuel de l'institution onusienne de 22%

2013: les États-Unis perdent leur droit de vote

Deux ans plus tard, les États-Unis et Israël, qui avait également cessé de payer, perdent automatiquement leur droit de vote au sein de l'agence onusienne. "Ni l'un ni l'autre n'ont présenté la documentation nécessaire pour éviter de perdre le droit de vote", déclare alors l'Unesco.

Washington, qui ne s'est pas acquitté de sa cotisation en 2011, 2012 et 2013, met alors en avant la législation américaine en vigueur depuis les années 1990 pour justifier sa position. Cette dernière interdit tout financement d'une agence qui accueille des groupes ou organisations ne possédant pas "tous les attributs internationalement reconnus d'un Etat".

Juillet 2017: les États-Unis préviennent l'Unesco

Début juillet, les Etats-Unis préviennent qu'ils vont revoir leurs liens avec l'Unesco, qualifiant d'"affront à l'histoire"  sa décision de déclarer la vieille ville de Hébron, en Cisjordanie occupée, "zone protégée" du patrimoine mondial. L'ambassadrice américaine auprès des Nations unies Nikki Haley affirme alors que cette initiative  " discrédite encore plus une agence onusienne déjà hautement discutable".

Le Comité du patrimoine mondial de l'Unesco avait inscrit la vieille ville d'Hébron sur cette liste en tant que site "d'une valeur universelle exceptionnelle". Il a également placé cette ville située dans les Territoires palestiniens sur la liste du patrimoine en péril.

Haut lieu de tensions, Hébron abrite une population de 200.000 Palestiniens et de quelque centaines de colons israéliens, qui sont retranchés dans une enclave protégée par des soldats près du lieu saint que les juifs désignent sous le nom de tombeau des Patriarches et les musulmans mosquée d'Ibrahim. Trois mois plus tard, l'administration de Trump, accompagné par Israël, a mis ses menaces à exécution en quittant l'institution. "

 

AH NON !!! :    Est ce que ça va devenir  UNE  EXPRESSION  POPULAIRE  de  TOUJOURS CONDAMNER  le PRÉSIDENT   T R U M P  !!!