MODÈLE DE LETTRE:



Considérant que la Ville de Montréal appuie toujours le Berger Blanc, qu’elle cautionne sa façon de traiter les animaux, et qu’elle envisage de continuer à travailler en partenariat avec cette entreprise même après l'instauration de son centre de service animalier, je me vois dans l’obligation éthique de refuser de payer la licence de mon animal et de contribuer à financer le Berger Blanc. Une enquête de six semaines a dévoilé plusieurs cas de cruauté envers les animaux au Berger Blanc. Cette forme de gestion implique que le profit prime sur le bien-être des animaux qui y sont gardés, que la qualité des soins s'en trouve grandement affectée et que le taux d'euthanasie est très élevé chez de telles entreprises. De plus même si le Berger Blanc dit avoir révisé ses pratiques, j’ai perdu confiance en cette organisme à but lucratif et rien ne m’assure que tout s’y passe bien (il n'y en a même pas de caméra dans la salle d'euthanasie). Donc tant et aussi longtemps que la Ville de Montréal continuera à faire affaire avec le Berger Blanc, ou tout autre fourrière à but lucratif, nos animaux ne seront pas en sécurité. Je demande la fermeture du Berger Blanc, et demande également que la Ville instaure une fourrière municipale gérée directement par la ville et maintenue par des employés de la ville. Et ce sur l’ensemble de son territoire.