Les messages des anciens élèves, à cette époque où on est plutôt habitué au chacun pour soi, font chaud au cœur.
Il me semble que c'est d'eux que pourraient venir notre salut. Si "tous" ceux qui sont passés par des prépas expliquent que ça a changé leurs vies et qu'ils n'auraient pas atteint leur niveau de compétence (et de productivité...) actuelle sinon, les débats pourraient prendre une dimension.

#111: -

Voilà une approche très intéressante : le témoignage de nos anciens étudiants explicitant ce que la prépa leur a apporté et rendant compte de notre travail ; en voici un, indirect " [..] Mais, sans vouloir vous faire plaisir, ça ne vaut pas du tout la qualité ni l'investissement des profs de prépa ". (extrait d'un mail du 24/10/2013 d'un étudiant ayant effectué une année en Sup, admis en Spé mais arrêté une année pour problème de santé majeur apparu en fin de Sup, qui poursuit sa formation dans une autre structure, plus compatible avec sa reprise d'études supérieures et son traitement d'entretien.

La seule disposition négociable dans le décret de 1950 est l'indexation de l'heure de colles sur l'effectif (via l'indemnité de HSA, elle-même via le maximum de service règlementaire),  qui n'est d'ailleurs appliquée que depuis quelques années.