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#5307 Re:

2011-09-27 09:41:26

#5306: -  

 

Christophe Barbier le chantre de la parole officielle : Horizons de plomb du chroniqueur politique

http://horizons.typepad.fr/.a/6a00d83451d36969e20105369b7b16970c-pi...

C'est une surprise. Les nominés pour l'horizons de plomb du chroniqueur politique étaient nombreux. Entre les zélotes du néolibéralisme, les vieilles gloires passées et les interviewers face auxquels il est possible de développer la moindre idée, il y avait le choix. Le vote a cependant été massif en faveur de Christophe Barbier tant le personnage insupporte par sa servilité, son coté pédant et courtisan, son insignifiance intrinsèque.

Christophe Barbier a et été largement élu avec 30 points contre 24 à Jean Marc Sylvestre et 20 à Etienne Mougeotte. Derrière on trouvait pourtant encore du lourd avec Alain Duhamel et Jean Michel Apathie (18 points chacun) Barbier, malgré ses 41 ans est déjà plus insupportable que ses glorieux ainés ! Comme quoi, le renouvellement des générations ne garantit pas toujours le renouvellement des idées et des talents. C'est bien ce qui est désespérant chez lui.

Tous les étudiants le savent : face à un sujet, on peut hésiter entre développer ce que le correcteur a envie de le lire, ou tenter de le surprendre par une pensée audacieuse. Entre être brillant ou être parfait, Christophe Barbier a choisi  : Ne jamais prendre le risque de choquer, toujours rendre compte des idées à la mode, ne se passionner que pour des idées consensuelles, faire de la paraphrase synthétique plutôt que de l'analyse critique, développer le moins de fond possible en surinvestissant le style et la forme, ne jamais hésiter à manier les clichés les plus éculés...

Christophe Barbier, c'est l'archétype du bon élève, du carriériste promis à une belle carrière, du médiocre sans envergure prêt à tout pour se faire accepter des puissants. Pour faire intellectuel et exister dans le paysage médiatique, il lui a choisi le l'image plutôt que l'écrit, le look (l'écharpe rouge) plutôt le fond, le théâtre plutôt le débat d'idées. Il a décidément tout compris.

Directeur de la rédaction de l'Express depuis deux ans, qu'il a rapidement transformé en hedbo pipole qu'on feuillette dans les salles d'attente, il présente un profil quasi révé pour prendre un jour la direction d'un pôle public de l'audiovisuel aussi grand public que servile à l'égard du pouvoir. Ne s'est-il pas déjà quasiment autoproclamé comme le porte parole officiel de la première dame ?

Malakine