non au plafonnement de la réparation des licenciements abusifs

le 30 06 2015 a 16h35

30/06/2015

Lorsque l'on est licenciée abusivement à 56 ans, étant donné que les indemnités Pôle Emploi ne durent que 3 ans, comment fait-on pour tenir 6 ans dans l'attente des 62 ans, âge légal de départ à la retraite?

aujourd'hui, le 30 juin 2015 et dés réception de votre courriel.
Enfin, des Confrères qui ont réagi sur cette loi !
Merci beaucoup.
Claudien MARTIN-VILLETELLE
Avocat au Barreau de Paris

#408: David van der Vlist - Re: Re:  

 Bonjour,

.

Félicitations pour ce document plein d'explications à travers le lien fourni,
.
qui  semble  bien (dé)montrer la connivence excessive des Gros, Dirigeants,
Elus et Politiques à l'encontre des salariés, y compris à travers les indemnisations
souvent déjà très faibles accordées par les Prudhommes,

car basées sur des salaires de plus en plus bas, sans tenir compte des durées
de recherche d'emploi des chomeurs de longue durée dans les catégories
d'activité de proximité similaires aux emplois perdus
.

=>  Tout cela à mettre en balance par rapport aux salaires, intéressements et tous
autres avantages en nature, sans limitations aucunes ou si élevées, prélevés par

les Dirigeants, leurs copains, Actionnaires, Sénateurs, Elus, Députés, et Députés-Européens
sur le fonctionnement de la Société avec une vision plus étendue ou englobante ... !?
( nationale, par pays, ou au niveau européen !? )

.

Merci à nos Seigneurs et Maitres,

aujourd'hui

ce jour
vite 68

Les socialiste de gauche dans l'opposition,
et de droite une fois au gouvernement.
"mon enemi c'est la finance" elle est bien bonne.
Ou comment ériger le mensonge en mode de management.
un autre exemple, la fiscalisation de la part patronale de la mutuelle, même la droite ne l'avait pas fait !

D'autres se sont battus pour notre sécurité et aujourd'hui nos droits légitimes sont discrètement et petit à petit retirés :(
Pétition signée

la loi MACRON, tout pour les patrons, rien pour ceux qui n'ont que leur salaire pour vivre.encore une mesure qui aggrave le coût du capital. pour MACRON PatronS vive les injustices et les inégalités.

Les salariés sont encore traités comme des citoyens de seconde zone... Ce sont les seules à payer de leur travail la " journée de solidarité", ce seront les seuls citoyens à voir la réparation de leur préjudice limitée à un forfait ( de combien ?)
Encore moins de pouvoir aux juges prud'homaux trop généreux mais pourtant composés à 50% de patrons !

le 30 juin

Le 29/06/2015

Il faut défendre les droits des salariés plus que jamais surtout face à ces nouvelles réformes qui nous infliges le gouvernement

petition signée en ligne le 01 juillet 2015

Un des cumuls de nos piètres députés:betise et provocation!

Ces députés qui devant les caméras,s'immergent dans le monde du travail(le vrai),pour quelques jours et qui s'étonnent,ébahis,de la besogne effectuée chaque jour,eh bien voilà la réponse:plafonnement de la prime de licenciement aux prudhommes!!

J'aime bien ce mot, DEGAGE

01/07/2015

Il est évident que pour les dirigeants d'entreprises à la solde des "gens fortunés" la corruption de la justice fasse partie de leur plan macabre.
Expliquerons-ils un jour la vraie raison de la destruction du socle qui les font vivre
Celui du travail, des femmes et des hommes qui en sont la richesse.
Dans ce contexte, adérer au Syndicalisme pour Agir devient urgent afin de pouvoir lutter.
Les mots ne suffisent plus devant tant de mépris.
Jean-Marc
CGT Transports PDL

Le 1er juillet 2015. Étant CFE-CGC, élue aux Prud'hommes de Lyon. Mon devoir, est de signer contre les licenciements abusifs.

Le 1er juillet 2015. La CFE-CGC est solidaire, et étant élue aux Prud'hommes de Lyon, je ne peux qu'être contre les licenciements abusifs

Belle démonstration d'une justice de classe mise en œuvre par un gouvernement "dit de gauche".

Cela donne aussi un moyen de pression supplémentaire aux patrons voyous...

Vivement que la gauche soit au pouvoir !

1er juillet 2015

MACRON ferait bien mieux de limiter les parachutes dorés des dirigeants qui démissionnent et qui en plus ont mis les entreprises en difficultés.