Ensemble contre la suppression de la Police à Cheval!!!

#376: -  

Tout réduire à une seule appréciation économico-financière n'a pas de sens. L'Etat, les Régions, les Provinces, les communes tentent de créer des activités touristiques pour attirer les touristes et faire fonctionner notre économie. Faire visiter les écuries fédérales, ouvrir les portes lorsque l'Escorte se prépare, ... devrait rentrer dans les activités dites touristiques.

La cavalerie a un impact indéniable auprès de la population. Elle rassure, elle approche le citoyen du monde policier, elle ouvre des contacts humains.

L'escorte sort peu et donc ce n'est pas elle qui doit être prise en considération exclusivement pour son maintien ou nom. Pourquoi les cavaleire ne sort-elle pas plus en appui des unités locales. Il fut un temps où elle allait dans les villes deux à trois jours consécutivement. Les polices locales trouvaient des box pour les recevoir. Actuellement, ils viennent dans les unités, une à deux fois par mois, pour quels motifs ? Aucune explication n'est donnée, pourtant les cavaliers montaient souvent dans leur région. Cela signifiait, moins de déplacement pour le personnel pour aller travailler, moins de déplacement avec les véhicules pour conduire les chevaux, ... Plutôt que la supprimer, a-ton exploré toutes les solutions alternatives.

J'accepterais de garder les chevaux en permance à la zone de police et de disposer du personnel fédéral pour effectuer des patrouilles. En cas de besoin des chevaux pour un service d'ordre ou une escorte, ceux-ci rentreraient anticipativement.

Les cavaliers de la région viendraient à tour de rôle patrouiller dans la zone. Ils ne devraient pas monter jusque Bruxelles prendre leur service. Il suffirait de les placer sous statut "mise à disposition" pour limiter les coûts indirects tels que le cas d'un détachement. Le système de comptabilisation des heures (Galop, beau nom pour la cavalerie) pourrait être utilisé au niveau local pour insertion dans le système du galop à la cavalerie. Nous fonctionnons avec une pointeuse, le personnel fédéral viendrait pointer en début et fin de service.

N'abandonnons pas ce qui nous reste de prestigieux et de symbole national !

Il y a d'autres secteurs qui coûtent très chers mais auxquels on ne fait rien !