#41: candidat scandalisé - Re: Re: réponse à client éffaré 

 complément d'information :

la sécurité sociale à laisser la liberté des prix de vente de la prothése aux dentistes avec comme seule condition qu'ils respectent leur code déontologie en ses articles R.4127-215 :la profession dentaire ne doit pes étre pratiquée comme commerce, et l'article R.4127-240 : le chirurgien dentiste doit toujours déterminer le montant de ses honoraires avec tact et mesure !!!!

c'est plutot le tact de la démesure !!!

de plus les dentistes font du compérages,ils s'entendent sur le prix de votre prothése avec un fabricant de plus ils vous imposent le fabricant ,il y à compérage c'est interdit article R.4127-224.

votre médecin vous prescrit les médicaments,il ne s'entend ps sur le prix avec les fabricants et votre médecin ne vous revend pas la fabrication de sa prescription,vous allez au pharmacien!!!

la profession de dentiste est une profession illégale !!!!

demandez le tarif des son prothésiste a votre dentiste et si il vous multiplie le prix d'achat plus de 3 fois,le tact est mesure n'est pas respecté,vous pouvez prendre rendez vous avec le dentiste conseil de votre CPAM et celui ci fera baisser les prix a votre dentiste.

#42: encore le candidat plus que scandalisé ! - Re: Re: Re: réponse à client éffaré 

 J'ai retenu le terme " onlay ", il m'a montré; c'était la partie supérieure de la dent ,cela devait faire 3mm d'épaisseur avec les pointes des dents, bref .... juste la partie supérieure...et pour cela  il a estimé le prix à 500 Euros.

C'est quand même démentiel qu'ils décident du prix de vente d'une fabrication qui n'est pas la leur !!!!

C'est pire que  la grande distribution .

Finalement vous devriez imposer que ce coefficient multiplicateur " raisonnable et équitable " pour  l' exercice légitime de votre profession soit inscrit dans une loi.

On sait très bien que " le tact et la mesure " ce sont des termes subjectifs qui ne seront jamais respectés, alors que si pour chaque type de prothèse vous avez une grille de conversion avec un coefficient multiplicateur décidé par une convention.... plus de problèmes ( cela existe ailleurs ).

Dans le cadre de la gestion des déficits de la SECU et donc plus largement des déficits budgétaires, pourquoi ne pas informer une instance supranationale ( européenne ) voire même des agences de notation dont on parle beaucoup en ce moment et qui se prononcent sur tout !

puisque de toute façon les décisions budgétaires seront de plus en plus sous la surveillance de ces organismes étant donné que les Etats sont très endettés, le déficit de la SECU peut être un bon argument ... et des exemples et preuves .... vous n'en manquez pas !!!

 Dans tous les cas, bonne chance !

Merci pour vos explications et vos conseils.