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Serap YILDIZ |
#201 Re: Re: La Turquie donne des leçons ... on a envie de rire !2011-12-23 00:05#83: Jako - Re: La Turquie donne des leçons ... on a envie de rire ! Tu cherches koi ici ??? Personne ne ta demander de signer facho dmes 2 !!! Tu ne connais même pas la Turquie et tu la juge alors nous nous vivons en France !!!! Va d'abord étudier l'histoir et reviens nous voir boufon !!!!! toi tu es encore plus que ridicule tu es quasiment que entre des TURCS qui son fières de l'être !!!! Va réviser vaaa t pas au couran du genocyde que tes arrieres grands parent ont fait en Algérie ou au rwanda ???? !!!!!! |
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#202 Re: Mystère de l'histoire...2011-12-23 00:20#119: Adem Altan - Mystère de l'histoire... preuve que la turquie n'a jamais fermé sa porte, et oui y'a toutes les nationalités et ca fait 100 ans |
mustafa |
#2032011-12-23 00:25On devrait s'occuper de l'histoire avec l'oxyde d'ethylène qui ont empoisonner nos enfants , je pense que ça a beaucoup plus d'importance , non? |
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#2042011-12-23 01:04Sur la 5 ce 21 décembre, des journalistes étrangers ont démontré les inconduites de notre Président. Le vote à propos du génocide arménien procède de visées électorales évidentes. Espérons que le Sénat ne soit pas lui aussi inféodé! On adule les Arméniens (et indispose les Turcs). On expulse les Roms (au lieu de financer d'autres camps). On préconise une immigration choisie (pour contrer la Marine). On cache la misère et la violence (mendicité interdite). On évite de gêner les vacanciers (en se rappelant brusquement que la Sécurité est un service de l'Intérieur). Il semble que la presse soit moins timide, et l'opinion plus éclairée. J'attends quelle c... on va nous sortir quand notre coq gaulois va grimper en haut du tas de fumier Sofitel et se mettre à chanter sa candidature! |
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#206 Re:2011-12-23 11:06http://www.lesquotidiennes.com/societe/lavortement-selectif-des-filles-se-propage-en-armenie L'avortement sélectif des filles se propage en ArménieSociété | 19.12.11 | Adrien Chevalley Le pourcentage de garçons nés en Arménie a considérablement augmenté ces dernières années dû à l'avortement sélectif des filles dans cette ex-république soviétique du Caucase, a indiqué lundi le Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP). Plus de 7.000 Arméniennes ont au recours à un avortement sélectif ces cinq dernières années, selon une nouvelle enquête menée conjointement par FNUAP, le ministère arménien de la Santé et l'Institut de la périnatalogie. Il n’est pas inhabituel pour les femmes arméniennes âgées d’une quarantaine d’années, d’avoir subi des avortements multiples. Selon une étude de 1995 conduite à la clinique d’Erevan où se pratique l’avortement, le nombre moyen d’avortements qu’ont les femmes après 40 ans est de 8. Certaines en ont eu jusqu’à 25 au moment de leur ménopause. D’un point de vue économique, ce n’est pas surprenant. Cette pratique était à la disposition des femmes gratuitement à l’époque soviétique. Aujourd’hui, elle a un prix relativement modéré, autour de 25 dollars. Cela reste une dépense abordable, du moins par comparaison au coût d’une année de la pilule contraceptive. L’avortement sélectif a aussi ses motivations socio-économiques. Traditionnellement, quand une fille grandit et se marie, elle quitte la résidence parentale. “Le retour d’investissement, en particulier dans les zones rurales, est faible si vous avez un enfant et si cet enfant est une fille. Un enfant garçon, pour sa part, devra prendre sa femme avec lui dans la maison et prendre soin de ses beaux-parents“, dit Hekimian. La loi arménienne permet à une femme d’avorter jusqu’à la douzième semaine - période dont la longueur ne permet pas de déterminer le sexe de l’enfant. Ce qui revient à dire que si l’un des déterminants de l’avortement est le sexe du fœtus, ces avortements sont pratiqués illégalement. D’après Garik Hayrapetyan, l’assistant du représentant arménien au Fond des Nations Unies pour la Population (UNFPA) “les données sur les naissances (en Arménie) montrent que le rapport sexe-à-la-naissance est anormal : 114 garçons pour 100 filles. Il n’y a pas de doute, le problème existe en Arménie“. La nature elle-même affecte la parité des sexes à la naissance, avec 105 garçons pour 100 filles. Le décalage anormal entre les garçons et les filles est apparu dans les années 1990, parallèlement au développement de l’examen échographique dans le pays. “Ce n’est pas un secret que l’avortement sélectif est un problème en Arménie, et heureusement, on commence à en parler“, nous a dit Marine Margaryan, travailleuse sociale et coordinatrice de projet du Public Information and Need for Knowledge (PINK Armenia).“ Mais pour la majorité, il n’y a rien à redire quant à l’avortement décidé sur le sexe. C’est l’approche stéréotypée et déformée du rôle que doivent avoir les femmes dans notre société qui pousse à ce déséquilibre“. Rapports et Mises en Garde Depuis quelques mois, la question de l’avortement sélectif frappe durement les esprits en Arménie, tandis qu’un certain nombre de rapports mentionnent l’Arménie comme faisant partie des pays où cette pratique atteint des niveaux préoccupants. Selon le Rapport 2011 sur l’Ecart entre les Sexes, rédigé par le Forum Economique Mondial, l’Arménie enregistre le plus mauvais résultat, après la Chine, s’agissant du ratio des sexes à la naissance. La Géorgie et l’Azerbaïdjan voisins dénotent la même tendance. En octobre 2011, l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE) a voté une résolution condamnant l’avortement sélectif.“Il y a des preuves solides que la sélection prénatale n’est pas limitée à la seule Asie. Au cours des années récentes, une différence par rapport au ratio naturel des sexes à la naissance a été observée dans un certain nombre de pays membres du Conseil de l’Europe et atteint des proportions alarmantes en Albanie, en Arménie, et en Azerbaïdjan“, lit-on dans le texte de la résolution, qui appelle ensuite les trois pays à analyser et surveiller cette évolution, et fournir ensuite leur soutien aux initiatives de sensibilisation. “Ce n’est pas seulement consternant, c’est aussi très embarrassant pour nous“, a dit- le docteur Gohar Panajyan, conseillère mère et enfant/santé et procréation/planning familial pour le projet HS-STAR de l’US Agency for International Development (USAID). “Nous avons été alertés d’abord par des sources officieuses“, a-elle-dit à Armenian Weekly, “mais nous manquons de données réellement scientifiques confirmant tout ce qui est propagé. A présent, la question se pose avec insistance dans le pays“. Panajyan pense qu’une stratégie à long-terme doit être adoptée, une solution qui tienne compte des normes sociétales et familiales de l’Arménie, et des aspirations. Les avortements ont baissé en Arménie, selon l’Armenia’s Demographic and Health Survey (ADHS), Enquête Démographique et Sanitaire en Arménie. En 2010, le ratio des avortements était de 0,8 avortements par femme. Ce nombre était de 1,8 en 2005 et de 2,6 en 2000. A l’inverse, le taux de ratio de fertilité en 2010 était de 1,7 naissances par femme, en dessous du niveau nécessaire pour remplacer la population actuelle (ce nombre devrait être un peu en dessus de 2,0). Par conséquent, le nombre moyen d’avortement que les femmes subiront se situera à près de la moitié des enfants auxquels elles donneront naissance, selon le rapport. Les diverses méthodes de contraception Le défi actuel c’est la promotion de solutions alternatives à l’avortement, par l’amélioration de la disponibilité et de l’accessibilité des conseils qui dispensent aux couples les informations récentes de planification familiale. Il se peut que le dialogue ait été rendu compliqué par les décennies de propagande soviétique contre les méthodes contraceptives modernes comme la pilule. Les préservatifs n’étaient pas produits en quantité suffisante dans l’Union Soviétique, et leur qualité était médiocre. “Le premier groupe de discussion que j’ai réuni en 1995 était sur ce thème. Les femmes disaient que la seule utilité des préservatifs était lorsqu’elles épluchaient les pommes de terre. [Elles les auraient réservés à leur emploi] comme gant de latex dans la cuisine,“ a dit Hekimian. Bien que leur qualité ait été sensiblement améliorée, le condom reste aujourd’hui trop cher pour la plupart des ménages arméniens. Une autre forme de contraception, le stérilet, était produit et utilisé en Union Soviétique, et il est toujours recommandé aujourd’hui. En 2010, vingt sept pourcent environ des femmes mariées avaient recours à des méthodes modernes de contraception, selon les données de l’ADHS. Le nombre de femmes qui optent pour des méthodes plus traditionnelles est légèrement plus élevé, 28 pour cent à peu près, telles que l’abstinence périodique, le retrait, et les “méthodes fantaisistes“. Bien que l’emploi de toutes formes de contraception ait diminué depuis 2000, le recours aux méthodes modernes s’est accru de 20-22 pour cent à 27 pour cent. En particulier, l’emploi du préservatif s’est accru de 7 pour cent en 2000 et 15 pour cent en 2010. Sensibilisation En janvier 2010, l’USAID a lancé en Arménie un projet d’amélioration de la santé de la maternité et de l’enfance connu sous le nom de Nova2. Le projet installait un centre de planification familiale dans 24 établissements hospitaliers dans cinq régions du sud de l’Arménie. Le résultat a été une baisse notable de l’avortement. De même, UNFPA a participé à la création de 75 centres de planification familiale en Arménie, donnant gratuitement des conseils et des contraceptifs modernes au public. Selon Panajyan, le projet HS-STAR de l’USAID en cours crée des pratiques cliniques dont le ministère de la santé arménien fera la promotion, et également du conseil, auprès des professionnels de la santé d’Arménie. “C’est la première fois que j’entends à tous les niveaux des parties prenantes s’exprimer un intérêt dans les mesures prises et peut-être cela donnera-il un plus aux docteurs qui mettent ces conseils en pratique. C’est ce qui s’est produit au niveau ministériel, ce qui dénote je pense, la qualité du travail“, a dit Hekimian. Le fond de cette affaire réside dans le financement et la mise en application de ces initiatives dans le pays. “Concernée par le problème, l’UNFPA Arménie a financé une étude pour comprendre les raisons qui se trouvent derrière ce phénomène’ a déclaré Hayrapetyan, ajoutant que les résultats de l’enquête seraient disponibles en décembre 2011. Une mère de trois enfants, Panajyan, citée dans l'étude, dit qu’elle avait apprécié sa troisième grossesse. Son plus grand désir, c’était d’avoir un enfant en bonne santé, quel que soit son sexe. ’Le problème en lui-même, l’approche discriminative à la naissance qui fait que chaque enfants n’a pas les mêmes chances à la naissance et de vivre, devrait être pris en compte’, a-t-elle dit. “Je ne dis pas que des lois contraignantes devraient être votées et mises en pratique, mais on devrait faire quelque chose- au moins au niveau sociétal, pour sensibiliser le public à ce problème.’ “Il y a eu un cas tragique récent, dans lequel une famille d’une région reculée - un père, une mère enceinte, et deux filles- se rendaient en voiture à Erevan pour y faire procéder pour la mère à une échographie, afin de déterminer le sexe du fœtus. Comme le père l’a révélé plus tard, ils avaient décidé d’un avortement si c’était une fille. Mais au cours de leur trajet pour Erevan, la famille eut un accident et l’une de leurs filles fut tuée“, racontait Hayrapetyan. Cela a changé complètement leurs vies, et leur approche de l’avortement sélectif.“ |
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#2072011-12-23 13:46toute loi visant à limiter la liberté de penser, même des "conneries", est liberticide et antidémocratique. |
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#208 Re:2011-12-23 18:55Loi sur le génocide: Erdogan accuse la FrancePar LEXPRESS.fr, publié le 23/12/2011 à 09:36, mis à jour à 17:20 http://static.lexpress.fr/medias/507/turquie-erdogan_364.jpg... On estime que 15% de la population algérienne a été massacrée par les Français à partir de 1945. Il s'agit d'un génocide", a déclaré le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan. REUTERS/Umit Bektas Pour le Premier ministre turc Erdogan, Sarkozy cherche des voix en attisant islamophobie et turcophobie. Il attaque la France sur la guerre d'Algérie et implique même le père du président. Les gestes de dépit se multiplient. Le groupe d'amitié Turquie-France à l'Assemblée nationale turque a cessé d'exister ce vendredi après que ses membres eurent décidé de le quitter pour protester contre l'adoption par l'Assemblée nationale française d'une proposition de loi pénalisant la négation des génocides. Un peu plus tôt, le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a accusé la France de jouer sur "la haine du musulman et du Turc", et d'avoir commis "un génocide" en Algérie. "On estime que 15% de la population algérienne a été massacrée par les Français à partir de 1945. Il s'agit d'un génocide", a-t'il déclaré lors d'une conférence. Le président français Sarkozy a commencé à rechercher des gains électoraux en utilisant la haine du musulman et du Turc "Le président français Sarkozy a commencé à rechercher des gains électoraux en utilisant la haine du musulman et du Turc", a déclaré Tayyip Erdogan lors d'une conférence à Istanbul."Ce vote qui a eu lieu en France, une France où vivent environ cinq millions de musulmans, a clairement montré à quel point le racisme, la discrimination et l'islamophobie ont atteint des dimensions dangereuses en France et en Europe", a asséné le Premier ministre. Erdogan attaque Pal Sarkozy Le Premier ministre turc, décidement très remonté, s'en est aussi pris à Pal Sarkozy, le père du président, "qui a été légionnaire en Algérie dans les années 1940". "Je suis sûr qu'il a beaucoup de choses à dire à son fils sur les massacres commis par les Français en Algérie", a affirmé le Premier ministre. Des allégations démenties par l'intéressé, sur BFMTV: "Je n'ai pas dépassé Marseille. Et j'étais pendant quatre mois à la légion, a déclaré Pal Sarkozy. Il suffit d'acheter mon livre, Tant de vie, (...) il y a là-dedans tous les documents, alors c'est totalement ridicule." L'ambassadeur de Turquie à Paris, Tahsin Burcuoglu, a quant à lui quitté la France dans la matinée au lendemain de la suspension par Ankara de sa coopération politique et militaire avec Paris, a indiqué le porte-parole de la représentation diplomatique Engin Solakoglu. La veille, le Premier ministre turc a ordonné jeudi la suspension des visites bilatérales, le rappel pour consultations de l'ambassadeur de Turquie en France et ajouté que "les exercices militaires communs avec la France et toutes les activités militaires avec ce pays avaient été annulés" pour protester contre l'adoption de ce texte. La Turquie menace aussi la France de sanctions économiques. Juppé tente de calmer le jeu Paris "regrette" les décisions de la Turquie, a déclaré dans la soirée le chef de la diplomatie française Alain Juppé, appelant Ankara à ne pas "surréagir". Le ministre des Affaires étrangères a appelé ce vendredi depuis Bordeaux "à la retenue" après les déclarations du Premier ministre turc. "Il y a beaucoup de raisons de maintenir entre la France et la Turquie des relations de confiance et même d'amitié, j'ose le mot, parce que nous avons beaucoup de choses à faire ensemble, pas simplement sur le plan économique, mais aussi sur le plan politique et stratégique (...) donc j'appelle à nouveau au sang-froid" a déclaré Alain Juppé. Un peu plus tôt, Nicolas Sarkozy a, lui, demandé à la Turquie le respect des "convictions" de chacun. "Je respecte les convictions de nos amis turcs, c'est un grand pays, une grande civilisation, ils doivent respecter les nôtres", a déclaré le président devant la presse française à Prague, où il assiste aux obsèques de l'ancien président tchèque Vaclav Havel. Prison et amende pour la négation d'un génocide Malgré les nombreux avertissements d'Ankara qui a dépêché plusieurs délégations à Paris, les députés français ont voté jeudi une proposition de loi pénalisant d'un an de prison et 45 000 euros d'amende la négation d'un génocide reconnu par la loi, comme l'est depuis 2001 en France le génocide arménien de 1915, qui a fait 1,5 million de morts, selon les Arméniens. La Turquie reconnaît que jusqu'à 500 000 Arméniens sont morts pendant des combats et leur déportation, mais non pas par une volonté d'extermination. Pour entrer en vigueur, la proposition de loi devra cependant aussi être adoptée par le Sénat, ce qui pourrait prendre plusieurs mois. Avechttp://static.lexpress.fr/imgstat/article/icons/fpa.png... |
BABOUCHE |
#209 Re: genocide algerien2011-12-23 20:31#192: selma yalaz - genocide algerien une francaise a dit que lalgerie n'est pas un genocide,apres setre battus contre hittler les algeriens ont perdus des hommes ,les militaires francais etaient en algerie pourkoi pas chez hittler et pendant que nous on tuait les allemands en allemagne ,en alsace les francais tuait nos parents ,tu sais comment il etait dans des camps ensuite il y avait des chiens dresses pour tuer il etaient affames expres et ensuite laches sur nos parents il se faisait bouffees,votre armee prenait des algeriens des montagnes car il savait pas nage et les jetait dans la mer mediterrannees,ils etaient fusille ,meme les femmes enfants ,nos grand parents recevait des coup de rangas dans la tete,les algeriens etait des indigene et de la merde pour les francais ,ils egorgait les gens aussi ,vous croyez uoi les francais que c'est vrai que vous aviez construit lalgerie mais quel reve pour vous un jour jai dit a mon grand pere que les francais ont construit lalgerie il ma crache dessus et madit tu est un garoui sale chiens mon grand pere ,les route construite cetait pour nous piquer notre petrole jusquen1971?LE LIEGE EN FORET ET LES MINARAIES?ET TOUTES LES MATIERES PREMIERES ?LES GENS ETAIT JETE DANS DES RAVINS ?LES HARKIS FRANCAIS ON EN PARLE PAS IL Y EN A MAIS EU A LA DIFFERENCE IL ETAIENT POUR LA JUSTICE QUAND LA FRANCE RENDRAS LA NATIONALITE A RINGO ELHARRACH SIL NEST PAS MORT ?A JEANINE OU JEANETTE MARIE A UN CHAHID ELLE A PERDU SA NATIONALITE EN 1962 ELLE A JAMAIS ?PU LA RECUPERERE?EN 1830 VOUS AVIEZ TUEZ TOUS IMMAMS?TOUS LES SAVANTS JUSUEN 1962 POUR PAS QUE LALGERIE SE RELEVE ECHEC POUR LA FRANCE TOUS LES ALGERIENS CONNAISSE LEUR HISTOIRE ON EST FIERES DETRE ALGERIENS ?MEME PRISONNIER VOUS AVIEZ TUE LARBI BENMHIDI ?SIELHAOUES?HASSIBA BEN BOUALI ETC TOUS EN PRISON FUSILLE ET OUI COMME KADHAFI AUJOURDHUI LES FRANCAIS CEST QUOI DES CRIMINELLE NOUS ON ETAIT DES TERRORISTES,comme les afganais ,comme les irakiens comme les syriens, comme les libyens ,comme les palestiniens,comme tous les arabes du mondes ce sont des terroristes et ils sont nes terroristes pourkoi ils sont arabes,les francais sont racistes ,les algeriens possedait un garoui de ble (environ 8KG)a lepoque les francais ecrasait le seul ble que nos parents disposait ils etaient traumatises par la presence francaiseALORS LES ALGERIENS ONT APPELE LE FRANCAIS GAROUIS IL JETAIT LEUR BLE ,savate frappe a la figure ma grand mere me raconte si la tienne se taisait ,ensuite il prenait le ble lecrasait et le jetait confisquait ,et quand il voyait les francais ils disaient les garouis sont la en un mot vite il faut sauver notre ble ,a grand mere cachait le ble ,les fusillades ,les viols les francais etaient tranquille nos parents ont ete martyrises et en 1962 combien de bachelier en algerie grace a la france 10 TRANQUILLE MAINTENANT IL Y A 38 MILLIONS DE BACHELIERS ET HISTORIENS EN ALGERIE CEUX QUOUBLIE LA SOUFFRANCE DE LEUR ANCETRES NE SONT PAS ALGERIENS ,ils ont devaste nos forets ,lalgerie possedaient des animaux sauvages des ,des guepards,les francais les ont tous fusille pour leur peaux etc ,en 1962 Avant meme ils ont tous disparus ,la presence francaise,les singes pareil,le petrole pareil ,le gaz pareil,le liege pareil,la devastation des forets ,les terres agricoles voles aux algeriens ceux qui renoncait etait fusille ,apres cette terre etait remise aux pieds noirs et juifs ils ont perdu leur bien voleur ,ils prenaient pas les terres des montagne mais tout le reste etait vole tel la mitidja qui la travaillait ou sont leur proprietaire dorigine ils ont ete fusille ,et dautres exporte oui en nouvelle caledonie on a nos freres algeriens deportes ,en polynesie francaise aussi des algeriens exportes et ceux quils ont jetes aux requins en 1832 ON ETAIT 6MILLIONS EN 1962 on est reste 6MILLIONS ET DE 1962 A 2010 38 MILLIONS EN 50ans lalgerie a engendre 32millions dalgeriens ,et en132 ANS ILS ONT RIEN ENGENDRE ?sachant que tous nos grands parents ont eu deux femme ,il connaisse ni repos que engendre ,je prend le carnet de mon grand pere minimum 12 ENFANTS ET CETAIT LES MOINSNOMBREUX DES FAMILLES 17a 20 ENFANTS ou sont ils sils etait en vie on serait plus de 100MILLIONS AUJOURDHUI ON EST 38millions mais les familles a17 ENFANT CA NEXISTE PLUS MAIS AVANT TOUS IL EN AVAIT 12 15 17 ?OU SONT ILS ALORS SI CEST PAS UN GENOCIDE ON A ENVAHI PERSONNE NOUS ?CEST LES FRANCAIS QUI SONT VENUS CETAIT DES CRIMINELLES ?DES VOLEURS DES PILLEURS ILS ONT CONSTRUIT DES ROUTE DE HASSI MESSAOUD A ARZEW POUR EXPEDIE NOTRE GAZ ET PETROLE?LES ESSAIS NUCLEAIRE ILS ONT RAYE TOUS LES HABITANTS DU DESERT JUSQUA OUJOURDHUI?ILS ONT FAIT UNE ROUTE ALGER MITIDJA POUR VOLER TOUS LES FRUITS ET LEGUMES?UNE ROUTE DES MONTAGNE POUR VOLER LE MINARAIE ?LEBOIS?LELIEGE ETC ?ET JE RESTE LA SINON JE PLEURE AU SOUVENIR DE MA GRAND MERE MATERNELLE PATERNELLE JE CONNAIS PERSONNES ?NI MA GRAND MERE NI MON GRAND PERE NI DES FRERES ET SOEURE A MON PERE QUE LES3DERNIERS ET TOUS MORTS 1954 1962 EN ALGERIE TOUS LES FELLAH ETAIT DES MOUDJAHID IL TRAVAILLAIT DUR POUR LES MOUDJAHID ET POUR EUX ET ILS ONT TOUS PARTICIPE TANDIS QUE LES HARKIS IL AIMAIT LA KHOBZA DES FRANCAIS QUI VOLAIT AUX ALGERIENS,pas decole pour les indigenes ils ont mis lecole en 1956 ouallah c'est la verite quand ca a explose pour calmer le fln ,ils ont vole notre canon baba merzoug du dey un historien algerien a dit cest notre canon ca cest baba merzoug ils ont fausse lhistoire zahma leur premier canon il est algerien ,il vont peut etre le rendre un canon la france a cause plus de 2000MILLIARDS DE DEGATS SUR LES ALGERIENS DU AU VOL PILLAGE CRIME ETC PLUS LES INDEMNISATIONS DES HOMME ET FEMMES ENFANTS MALADES DES ESSAIS NUCLEAIRES ?ILS ONT RIEN DIT LES GENS EXPLOSAIT APRES LA GUERRE A CAUSE DES MINES LES FRANCAIS ONT RIEN DIT APRES1962 LES ALGERIENS MORT A CAUSE DES FRANCAIS SURTOUT DANS LE SAHARA LOISAEAU BLEU?LES MINES ETC
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#210 Re: www.lesfrancoturcsvotenten2012.fr2011-12-23 22:06 |
MUSTAFA DEMIR |
#211 on a pas de leçon a donner ???2011-12-24 01:08Le Nigeria obtient son indépendance totale en 1960. Le pays est alors divisé en trois régions disposant d'une large autonomie. En 1966 un coup d'État fomenté par différents groupes militaires amène au pouvoir le général Ironsi, d'origine Ibo, qui est assassiné quelques mois plus tard. Le désir des Ibo (de langue igbo) de s'affranchir du régime fédéral aux mains des deux autres ethnies majoritaires du Nigeria déclencha une guerre civile avec la déclaration d'indépendance de la république du Biafra par son chef Odumegwu Emeka Ojukwu le 30 mai 1967. L'une des raisons de la sécession était que l'ethnie Ibo, en majorité chrétienne et animiste souhaitait s'affranchir de la tutelle fédérale des Haoussa, en majorité musulmans. Cette guerre politique, religieuse et ethnique, très meurtrière, s'acheva le 15 janvier 1970. Les frontières du nouvel Etat n'etaient pas originales : elles étaient celles de la Région Est du Nigeria, une région administrative créée par les Britanniques en 1939. Certes, elles regroupaient des populations igbos mais aussi des populations non-igbos comme les Ijaws dans le Delta du Niger1. Tout comme pour le Katanga, le Somaliland, l'Érythrée ou le Soudan du Sud, les sécessionistes ont revendiqué la création d'un Etat dans des frontières coloniales et non dans des frontières précoloniales. La sécession ne remettait pas en cause les concessions déjà accordées à des compagnies pétrolières existantes concernant le sous-sol du Biafra. Toutefois, il a été suggéré (notamment dans des récits mettant en cause le rôle de la France en Afrique à partir des années 1960) que les belligérants étaient soutenus par des puissances européennes en fonction des avantages escomptés sur des exploitations. Quatre pays africains (Tanzanie, Gabon, Côte d'Ivoire, Zambie) et Haïti reconnurent la jeune république du Biafra. La France l'aida de façon discrète par des envois comprenant des armes et des mercenaires. Le Nigeria réagit en décrétant le blocus et en déclenchant la guerre, aidé par le Royaume-Uni, l'Union soviétique et les États-Unis. Les hostilités feront plus d'un million de morts, notamment du fait de la famine. Au cours du blocus, au moins un avion de la Croix-Rouge fut abattu par le Nigeria, en violation des conventions internationales. Selon Rony Brauman2, « À l'automne 68 […] le gouvernement français mobilisait la Croix-Rouge et mettait en place, dans un même mouvement, un dispositif clandestin d'assistance militaire. Sous la direction d'un mercenaire américain, des pilotes français, rhodésiens, sud-africains et portugais, convoyaient des armements depuis le Portugal jusqu'au réduit biafrais via Sao Tome où ils embarquaient équipes humanitaires, médicaments et vivres. La France et l'Afrique du Sud finançaient conjointement ce pont aérien. » Population[modifier] Les habitants du Biafra sont majoritairement des Ibos (de langue igbo) qui formaient environ 70 % de la population du Biafra et 18 % de celle du Nigeria. L'écrivain Kurt Vonnegut les présente comme plus avancés dans l'éducation que les autres ethnies du pays (il mentionne le nombre d'Ibos effectuant des études supérieures internationales) et selon lui détestés du reste des Nigérians pour cette raison. Les autres importants groupes ethniques sont les Ibibios, Ijaws, Ogojas, Ekois, Efiks... La majorité de la population est catholique, protestante, juive et animiste. |
mustafa |
#2122011-12-24 01:13Causes et déclenchement du conflit[modifier] Ex-colonie britannique, le Nigeria, qui prend son indépendance en 1960, est alors peuplé d'environ quarante millions d'habitants, population supérieure à celle de l'ensemble des États africains francophones nouvellement indépendants1. Sa population est divisée en 250 ethnies1, dont trois principales, les Haoussas, les plus nombreux, majoritairement musulmans et vivants au Nord ; les Yorubas, musulmans et chrétiens vivant à l'Ouest et au Sud-Ouest ; et les Ibos (ou Igbos), majoritairement chrétiens et animistes, qui vivent au Sud-Est et détiennent la majorité des postes dans l'administration et les commerces. Largement christianisés et alphabétisés par les missionnaires, les Ibos avaient en effet été favorisés par l'administration britannique qui séparait ainsi les forces du pays pour mieux asseoir sa domination. De plus, la plupart des mines de charbon et des réserves de pétrole du pays étaient situées à l'est du delta du Niger, où vit la majorité des Ibos. De 1960 à 1966, les deux partis politiques Haoussa et Ibo s'allient pour diriger le Nigeria, excluant de fait les Yorubas. Les autres ethnies se sentant lésées à différents niveaux, elles s'opposent aux Igbos et les tensions montent jusqu'à atteindre leur paroxysme en 1966. Les Yorubas soutenaient jusqu'alors un parti réformiste à tendance progressiste, opposé au bloc conservateur des musulmans du Nord, l'Action Group. Ils menèrent alors un coup d'État qui conduisit à la formation d'un parti Yoruba plus conservateur, le NNDP, et à une alliance avec les Haoussas. Les composantes de cette nouvelle alliance politique exclurent les Igbos du pouvoir et les menacèrent de leur confisquer leurs richesses, tirées notamment du pétrole. Lors des élections de 1965, l’Alliance nationale nigériane (Nigerian National Alliance) des Haoussas, alliée aux membres conservateurs Yorubas, s'opposait à la Grande Alliance progressiste unie (United Progressive Grand Alliance ou UPGA) Igbo, alliée aux membres progressistes Yoruba. L'Alliance nationale nigériane, menée par Sir Abubakar Tafawa Balewa, remporta la victoire avec une écrasante majorité, qui fut néanmoins entachée par des soupçons de fraude électorale massive[réf. nécessaire]. Des officiers Igbos à tendance gauchisante renversèrent alors le gouvernement et placèrent le général Johnson Aguiyi-Ironsi à la tête de l'État le 15 janvier 1966. Ironsi met fin le 24 mai 1966 au fédéralisme et renforce la domination de la capitale, mais les tensions s'attisent dans le pays1. Une rébellion anti-Ibos éclate dans le Nord, déclenchant un exode massif vers la province de l'Est. Selon Jean Guisnel, « les massacres provoquent plus de 30 000 morts jusqu'en octobre »1. Ironsi est assassiné le 29 juillet 1966, et un autre coup d'État instaure un gouvernement fédéral militaire. La junte, en majorité musulmane, place à la tête de l'État un chrétien, le général Yakubu Gowon, avec pour mission de rétablir la paix dans le pays et un régime civil à son gouvernement. Mais dans le Nord du pays, en majorité peuplé de musulmans, des persécutions et des pogroms sont perpétrés sur des Igbos, ethnie chrétienne, malgré les tentatives de Lagos de ramener le calme[réf. nécessaire]. Le général Gowon modifie les structures administratives du pays, ce qui suscite l'opposition des Ibos, qui perdent le pétrole, qui est présent principalement à l'est du Delta, et est l'objet d'exploitations par les compagnies britanniques Shell et British Petroleum (BP)1. Odumegwu Emeka Ojukwu, le gouverneur militaire de la région de l'Est, fief des Igbos, refuse alors de reconnaître l'autorité de Yakubu Gowon et la tension monte entre chrétiens et musulmans, plaçant le pays au bord de la guerre civile. En janvier 1967, l'accord d'Aburi est proposé au Nigeria au terme d'une médiation ghanéenne. Il prévoit l'abandon de la division du pays en régions afin d'instaurer une République fédérale composée de douze États. Le général Gowon propose de son côté un nouveau découpage administratif qui aurait privé les Igbos de la grande partie des ressources pétrolières. Ojukwu rejette ces propositions et déclare que tous les revenus générés dans la région de l'Est seront réquisitionnés par le gouvernorat en termes de réparation au coût du déplacement des dizaines de milliers d'Igbos fuyant le Nord. Débuts de la guerre[modifier] Déroulement des opérations militaires[modifier] Le 26 mai 1967, le Conseil consultatif de la région de l'Est vote la sécession de la région[réf. nécessaire]. Le 30 mai, Ojukwu proclame l'indépendance de la région, qui prend le nom de République du Biafra, avec Enugu pour capitale. L'armée biafraise compte alors environ 100 000 hommes. L'état d'urgence décrété au Nigeria le 26 mai 1967 permet d'instaurer des mesures policières visant à reprendre le contrôle du Biafra mais sans grand succès. Le Biafra détenant les deux-tiers des réserves de pétrole, Ojukwu s'approprie le dernier tiers en traversant le Niger et en envahissant la région du Centre-Ouest, où se constitue une éphémère République du Bénin, avec Benin City pour capitale (à ne pas confondre avec le Bénin, qui correspond à l'ancien Dahomey). En représailles des actions armées du gouvernement nigérian, l'armée du Biafra pousse ses incursions jusqu'à Lagos, la capitale du Nigeria. L'armée fédérale engage alors les hostilités et prend peu à peu le contrôle des principales villes, tandis que le territoire du Biafra se réduit au fil des mois comme une peau de chagrin : Ogoja, Nsukka et l'île de Bonny tombent dès le 30 mai 1967, Enugu le 28 septembre 1967 (capitale transférée à Umuahia), Port Harcourt et ses champs pétrolifères le 24 mai 1968, Umuahia le 22 avril 1969 (capitale transférée à Owerri) et finalement Owerri le 9 janvier 1970. Avec la chute de Port Harcourt le 24 mai 1968, le Biafra se trouva définitivement privé d'un accès à l'océan Atlantique. La stratégie d'étouffement des poches de résistance biafraise par l'armée nigérianne conduisait irrémédiablement à l'écrasement sanglant de la révolte. Positions internationales[modifier] Les anciennes puissances coloniales que sont le Royaume Uni et la France sont les principaux protagonistes externes de ce conflit qui suit de près la décolonisation et voit les nouvelles zones d'influence se dessiner. Les deux camps sollicitent l'aide de la France, mais le général de Gaulle décide officiellement un embargo aux deux parties1. Paris penche pour le Biafra : en 1967, de Gaulle déclare à Jacques Foccart, son conseiller en affaires africaines, qu'il souhaite le « morcellement » du pays3 afin d'affaiblir la zone d'influence britannique. De plus, le général Gowon reçoit des armes de l'URSS1. Pourtant, Gowon avait commandé quarante automitrailleuses à Paris, qui commenceront à être livrées en juin 1967. La moitié de la commande sera honorée, les livraisons cessant en décembre4. Les grandes nations choisissent peu à peu leur camp : la France du général de Gaulle fournit des armes au Biafra, dont l'indépendance ne sera officiellement reconnue que par quatre pays africains (Tanzanie, Gabon, Côte d'Ivoire, Zambie) et par Haïti ; de leur côté, le Royaume-Uni et l'URSS soutiennent le gouvernement fédéral et lui fournissent des armes[réf. souhaitée]. Les États-Unis soutiennent également le Nigeria, mais s'opposent à toute vente d'armes aux deux parties. Le chanteur John Lennon, citoyen britannique, renvoie sa décoration de Member of the British Empire pour protester contre le choix de camp effectué par son pays.[réf. souhaitée] Outre Paris, qui penche pour le Biafra, le Gabonais Albert-Bernard Bongo et l'Ivoirien Félix Houphouët-Boigny, soutenus et financés par l'Afrique du Sud et la Rhodésie, soutiennent le général Ojukwu afin de réduire l'influence du Nigeria anglophone en Afrique1. Le 6 juillet 1967, les compagnies pétrolières Shell, BP et American Overseas annoncent leur intention de verser directement les royalties au Biafra et non au Nigeria. Les différentes nations soutenaient l'un ou l'autre des belligérants par des convois d'armes, de mercenaires et de conseillers militaires. L'excentrique comte suédois Carl Gustav von Rosen, recruté par l'association caritative catholique Caritas, proche du Vatican1, dirigea aussi une brigade aérienne composée de cinq avions Saab miniCOIN (deux biafrais et trois suédois). Les milieux chrétiens, dont fait partie Jean Mauricheau-Beaupré, collaborateur de Jacques Foccart, qui préside la cellule africaine de l'Élysée, ont tendance à considérer la guerre du Biafra comme un conflit religieux et soutiennent les Ibos1. Rôle de la France dans ce conflit[modifier] Cet article n’est pas rédigé dans un style encyclopédique. Améliorez sa rédaction ! Avec le Maroc, le Nigeria est l'un des seuls pays à protester vivement contre le troisième essai nucléaire français, Gerboise rouge, effectué le 27 décembre 1960 à Reggane, au Sahara algérien. Lagos expulse alors l'ambassadeur de France Raymond Offroy et interdit aux avions et aux navires français de toucher son sol, provoquant la colère de de Gaulle et de Pierre Messmer, alors ministre des Armées. Quarante ans plus tard, ce dernier déclare : « Je ne pardonnais pas [au Nigéria] son attitude après nos tirs nucléaires à Reggane. Ça permettait [le soutien au Biafra] de lui faire payer ! Il avait été à la fois provocant et ridicule. Provocant, en essayant de soulever les gouvernements africains contre les tirs nucléaires français. Et ridicule en disant : "Nous Nigéria, nous aurons la bombe atomique." Ce sont des grotesques. Je ne leur ai pas pardonné. »1 La France joue un rôle majeur dans ce conflit : Dès le début, De Gaulle avait indiqué à son émissaire Jacques Foccart qu'il souhaitait affaiblir le « géant nigérian » 5. Foccart écrira trente ans plus tard : « De mon point de vue, le Nigéria était un pays démesuré par rapport à ceux que nous connaissions bien et qui faisait planer sur ceux-ci une ombre inquiétante »6. Le gaulliste Yves Guena déclarait pour sa part en parlant du Nigéria et du Ghana : « Même sans parler en termes militaires, que pèserait une poussière d'États francophones devant ces deux puissances ? »7. Selon son récit, De Gaulle donne carte blanche à Foccart pour qu'il « aide la Côte d'Ivoire à aider le Biafra »8. L’État français finance l'opération 9. De Gaulle appuie Foccart dans cette opération contre l'avis de son Premier Ministre, Maurice Couve de Murville, « littéralement horrifié » et contre la diplomatie française : ils « n'apprécient pas ce qui leur apparaît comme une politique aventureuse décidée en dehors d'eux », note Foccart10. Le chef de la République du Biafra, Ojukwu, a établi à Paris le Biafra Historical Research Center, où travaillent le mercenaire Bob Denard et Roger Faulques, ex-colonel pendant la guerre d'Algérie et ancien membre du 1er REP1. Ceux-ci recrutent d'autres mercenaires pour soutenir la sécession du Biafra, dont le colonel Rolf Steiner, un légionnaire allemand, ancien de l'OAS, qui commandera au Biafra la 4e Brigade commando (« légion noire ») et Gildas Lebeurrier, un ancien parachutiste en Indochine et en Algérie1. Le bureau sert aussi d'interface pour acheter des armes sur le marché « gris »1. Le 4e commando brigade remporta de nombreux succès sur les forces nigériannes, principalement lors de l'audacieux raid d'Enugu qui détruisit l'aviation nigériane dans le secteur Nord. Les opérations vers le Biafra sont coordonnées par l'ambassadeur de France au Gabon Maurice Delauney, avec à ses côtés Jean-Claude Bouillet, directeur de la compagnie aérienne Transgabon et responsable local des services de renseignement français, le SDECE, en lien avec le correspondant de Foccart à Abidjan, Jean Mauricheau-Beaupré, ancien membre du SDECE11. Les premières livraisons de munition et d'un bombardier B26 ont lieu en juillet 1967 et sont signalées par l'ambassade des États-Unis à Lagos12. Maurice Robert est alors chef des opérations du SDECE en Afrique. À partir d'août 1968, ce sont des dizaines de tonnes par jour d'armes et de munitions qui sont acheminées au Biafra par des mercenaires et des hommes du SDECE13. Le gourvernement nigérian utilise également des « mercenaires », sous la forme de pilotes égyptiens pour leur armée de l'air avec des chasseurs MiG 17 et des bombardiers Ilyushin IL 28. Les pilotes égyptiens auraient fréquemment attaqué des civils plutôt que des cibles militaires, bombardant de nombreux abris de la Croix-Rouge14. La presse francophone donne des échos du soutien français dans le conflit. Le Canard Enchaîné publie une lettre de l'ambassadeur Delauney recommandant le colonel Fournier et ses trois collaborateurs du SDECE au lieutenant-colonel Ojukwu. Dans Jeune Afrique, le journaliste Michel Honorin écrit : « De trois à six avions [arrivent] chaque soir au Biafra. […] Une partie des caisses, embarquées au Gabon, portent encore le drapeau tricolore et l'immatriculation du ministère français de la Guerre ou celle du contingent français en Côte d'Ivoire »15 Selon les analyses controversées de François-Xavier Verschave, le soutien militaire (mercenaires, armes et munitions) et financier apporté secrètement par les autorités françaises aurait prolongé le conflit durant 30 mois, provoquant indirectement 2 à 3 millions de morts16. Très éloigné de ces chiffres, le consultant canadien pour le développement Ian Smillie avancera que la prolongation de la guerre dû au soutien français aux insurgés du Biafra aurait contribué à la mort de près de 180 000 civils17. Utilisation de l'opinion publique française et européenne[modifier] Les services de renseignement français ont compris l'avantage qu'ils peuvent tirer des images et reportages des victimes de la famine auprès des opinions publiques européennes et américaines. Ils faciliteront l'exposition médiatique du conflit. Ce conflit est peu suivi par le public international jusqu'au milieu de l'année 1968, lorsqu'arrivent les premières photos de Biafrais victimes de la famine. Le Nigeria est alors soupçonné de génocide envers les Igbos, d'autant qu'un avion avec le signe de la Croix-Rouge leur apportant des vivres a été attaqué. « La conquête de l'opinion publique » , selon les mots du délégué du Biafra à Paris, Ralph Uwechue, fait l'objet d'efforts importants18. Foccart fera à ce sujet les remarques suivantes :« Les journalistes ont découvert la grande misère des Biafrais. C'est un bon sujet. L'opinion s'émeut et le public en demande plus. Nous facilitions bien sûr le transport des reporters et des équipes de télévision par des avions militaires jusqu'à Libreville et, de là, par les résaux qui desservent le Biafra. » 19. L'agence de publicitié MarkPress, à Genève, va mener pendant 17 mois, une campagne de presse, comportant plus de 500 articles, et donnant une place centrale au thème du génocide par la faim18. Le SDECE est directement impliqué dans cette campagne : « Ce que tout le monde ne sait pas, c'est que le terme de "génocide" appliqué à cette affaire du Biafra a été lancé par les services. Nous voulions un mot choc pour sensibiliser l'opinion. Nous aurions pu retenir celui de massacre, ou d'écrasement, mais génocide nous a paru plus "parlant". Nous avons communiqué à la presse des renseignements précis sur les pertes biafraises et avons fait en sorte qu'elle reprenne rapidement l'expression "génocide". Le Monde a été le premier, les autres ont suivi », explique le colonel Maurice Robert, responsable du SDECE durant la guerre du Biafra20. Les autorités de Lagos tentent de faire face à cette campagne : une commission internationale comprenant quatre observateurs (des militaires haut gradés du Canada, de Grande-Bretagne, de Pologne et de Suède) réalisent une enquête en septembre 1968 et concluent « le terme de génocide est injustifié »21. Crise humanitaire[modifier] Fillette réfugiée souffrant du kwashiorkor À partir de 1968, les deux armées maintiennent leurs positions et aucune ne parvient à progresser significativement. La population civile, coincée entre deux feux et craignant des massacres de la part de l'armée nigériane, n'a d'autre choix que de soutenir le gouvernement du Biafra et de se déplacer de camp en camp de réfugiés. Le blocus terrestre et maritime de la poche biafraise où sont coincés des millions de personnes sur quelques milliers de kilomètres carrés entraine alors une terrible famine où deux millions de personnes environ mourront de faim, de soif et d'épidémies. La médiatisation de cette famine qui montrait des enfants et des réfugiés faméliques et le cri d'alarme du gouvernement du Biafra accusant le Nigeria de génocide et d'aggraver la famine déclencha un élan humanitaire international. Un pont aérien transportant vivres et médicaments fut mis en place, ce qui permit d'enrayer en partie la crise. Ces convois aériens humanitaires furent dénoncés par le Nigeria, car, selon lui, ils servaient de couverture à l'envoi d'armes et de mercenaires22,23 24,25,26. Ces suspicions allèrent jusqu'à inciter l'armée nigériane à abattre en plein vol un avion du Comité international de la Croix-Rouge[réf. nécessaire]. Le conflit du Biafra offre un important tremplin médiatique pour les organisations humanitaires qui se sont engagées dans l'aide aux réfugiés. On assiste alors à un tournant, alors que des médecins comme Bernard Kouchner sortent de la politique traditionnelle de neutralité et de réserve de la Croix-Rouge et prennent fait et cause pour l'un des partis en présence. L'action des nouvelles organisations créées au début des années 70 telle que l'ONG Médecins sans frontières présentera un mixte d'aide humanitaire et d'actions de sensibilisation auprès des médias et des institutions politiques. Chute du Biafra[modifier] Avec un appui renforcé des Britanniques, les forces fédérales nigériannes lancent une offensive finale le 23 décembre 1969. Quatre offensives composées de 120 000 hommes au total ont raison des dernières positions biafraises. Odumegwu Emeka Ojukwu prend alors la fuite vers la Côte d'Ivoire et charge son premier ministre Philip Effiong de régler les détails de la capitulation. Celui-ci signe le 12 janvier 1970 un cessez-le-feu immédiat et sans conditions. Le 15 janvier, les derniers combats cessent et le Biafra est officiellement réintégré au sein du Nigeria. Après-guerre[modifier] Au début du conflit, l'écrivain Wole Soyinka, futur prix Nobel de littérature, inquiet de l'imminence du conflit, tenta de passer au Biafra. Il souhaitait par ce geste inviter les parties à trouver une issue pacifique. Le gouvernement fédéral nigérian l'arrêta et il passa alors 25 mois en prison ; il y écrivit alors le recueil de poèmes A Shuttle in the Crypt (titre initial : Poems from Prison) qui fait écho à cette expérience27. Malgré les accusations de génocide formulées à l'encontre du Nigeria, les observateurs internationaux n'ont pas constaté de représailles massives ou de massacres à l'encontre des Ibos après la capitulation du Biafra (ou n'ont pas pu en rapporter la preuve). Les propositions de réconciliation faites par le gouvernement du Nigeria semblent avoir été sincères. Les combattants du Biafra seront autorisés à réintégrer l'armée régulière et aucun procès ne sera organisé : Odumegwu Emeka Ojukwu lui-même sera finalement autorisé à rentrer au Nigeria en 1982, après douze ans d'exil. La reconstruction du Nigeria fut relativement rapide grâce à l'argent du pétrole extrait de l'ex-Biafra, mais le maintien d'un régime fédéral militaire mécontenta les Ibos qui jugeaient les retombées économiques insuffisantes. Une loi indiquant qu'aucun parti politique ne pouvait être fondé sur les ethnies ou sur les tribus fut adoptée mais son application ne fut pas aisée. Les vieilles tensions ethniques et religieuses demeurent une caractéristique constante de la politique nigérianne. Aujourd'hui, à plus de 70 ans et candidat à l'élection présidentielle nigériane de 2003, Ojukwu dénonce toujours les conditions de vie des quinze millions d'Ibos parmi les cent millions d'habitants du Nigeria et la persistance des nombreux problèmes qui avaient conduit à la guerre en 1967. |
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#213 Re:2011-12-24 08:18Sarkosy ce n'est pas la France, c'est un homme qui fait honte. |
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#214 Re: Re: genocide algerien2011-12-24 14:36 |
antimensonges |
#215 Génocide agérien2011-12-24 14:39Il faut absolument parler du génocide de la France en Algérie! IL FAUT SAVOIR QUE 1 TIERS DE LA POPULATION ALGÉRIENNE A ÉTÉ POURCHASSÉE JUSQUE DANS LES MONTAGNES ET EXTERMINÉE PAR LA FRANCE: ON APPELLE CA UN GÉNOCIDE! VIOLS, CATAPULTAGE D'ÊTRES HUMAINS MUSULMANS SUR DES FLANS DE MONTAGNES, IMMOLATION DE PERSONNES VIVANTES MUSULMANE, Atrocité SUR BÉBÉ, FEMMES ENCEINTES, HOMMES, ENFANTS!! GÉNOCIDE QUE LA FRANCE N'A TOUJOURS PAS RECONNU!!!! InterMAIS ELLE SE TARGUE BIEN DE LE RECONNAITRE! DU MOMENT QU'IL NE S'AGIT PAS DE BLANCS DE TYPE CAUCASIENS DESCENDANTS DES KHAZARS!!!! COMME LES ARMÉNIENS VENUES D'ON NE SAIT Où ET QUI ONT INFILTRéS PLUSIEURS PEUPLES DANS LEURS PAYS, POUR ENSUITE ATTENDRE LE BON MOMENT POUR REVENDIQUER... EUH... PLUTÔT VOLER PAR LA BARBARIE, DES TERRES QUI NE LEUR ONT JAMAIS APPARTENUES!!! JAAAAAAAAAMAIS ET SEUL UN AZÉRIE POURRAIT VOUS LE CONFIRMER PUISQU'ILS ONT ÉTÉ SAUVAGEMENT MASSACRES PAR LES ARMÉNIENS, grâce au soutien armée de leurs frères de sang: les slaves de l'union soviétique, les russes d'aujourd'hui, LES RUSSES BLANCS CAUCASIENS DESCENDANTS DES KHAZARS! Intressant de constater qu'aujourd'hui ce sont des politiciens Français ORIGINAIRES DU CAUCASE QUI Défendent CETTE LOI QUI TOURNE EN FAVEUR DES Arméniens, QUI POUR LE COUP, POURRONT PAR LA SUITE DEMANDER DE L'ARGENT à l’État Turc, en guise de dédommagement. N'oublions pas que les contribuables Allemands paient encore aujourd'hui à l’État d’Israël un dédommagement financier pour la Shoah! Alors? LE PIRE DANS CETTE HISTOIRE, C'EST DE FAIRE LE CONSTAT D'UNE IMMANENCE HYPOCRISIE QUI PASSE Inaperçue AUX YEUX DE LA FRANCE ENTIÈRE!!!! QUELLE EST DONC? LA FRANCE VEUT RECONNAITRE LE GÉNOCIDE ARMÉNIEN PAR LES TURCS, AVEC UNE LOIS QUI OBLIGERAIT QUI QUE CE SOIT A NE PAS NIER LES GÉNOCIDES, MAIS LE PROBLÈME, C'EST QUE POUR QU'UN GÉNOCIDE SOIT Nié, IL FAUT DÉJÀ L'AVOIR JURIDIQUEMENT RECONNU, AUTREMENT çà NE SERT à RIEN DE CRIER AU GÉNOCIDE. ET DE DEUX: AINSI QUICONQUE VOUDRA A SON TOUR DÉNONCER LE GÉNOCIDE DES AZÉRIS PERPÉTRÉ PAR LES ARMÉNIENS AVEC LA COMPLICITÉ DES SOVIÉTIQUES, PARLERA POUR RIEN! nada! walou! Que je sache, LES ARMÉNIENS NE RECONNAISSENT PAS ET NE RECONNAITRONT JAMAIS LE GÉNOCIDE EFFRAYANT QU'IL ONT FAIT EN AZERBAÏDJAN! Pourtant, si vous demandez des renseignements à une association azerbaïdjanaise, ou ambassade peut-être, certains d'entre eux ont des vidéos et archives des ces massacres, ou peuvent en faire envoyer de leur pays et je parle par expérience: j'ai vu des vidéos d'archives où les sinistrés azéries témoignent de l'horreur des massacres qu'ils ont vécu avec les arméniens. A l'époque, c'était un étudiant en géopolitique azérie que je voyais pleurer devant son ordinateur, sans comprendre pourquoi, jusqu'au moment où il accepte de me montrer ce qu'il regardait! CROYEZ MOI QUE LA HAINE DES AZÉRIES, CONTRE SES MENTEURS ET LOBBYISTES ARMÉNIENS, EST GRANDE! J'espère qu'un jour ils paieront pour ce qu'ils on fait IN'CHA ALLAH! Et dire qu'aujourd'hui, quelques expatriés arméniens font pulluler dans le monde, des livres AVEC DE GRANDS MENSONGES, DANS LE BUT DE CONVAINCRE LE MONDE QUE CE SONT DES VICTIMES! MAIS DANS QUEL MONDE ON VIT! CE SONT DES BOURREAUX SANGUINAIRES CHRÉTIENS ORTHODOXES, QUI N'ONT FAIT QU'APPLIQUER LES ORDRES SOVIETS QUI JE NE VOUS LE CACHE PAS ÉTAIENT TEXTO: "TUER CHAQUE MUSULMANS QUE VOUS TROUVEREZ SUR VOTRE PASSAGE". Et voilà qu'en échange d'armes, de terres illégitimes et d'un crime immense, le "NETTOYAGE DE CES SALES MUSLIM" était fait! http://www.azambassade.fr/tinymce/uploaded/sehifeler/Qarabag/Lettre%20du%2016%20octobre%202010.pdf LES TURCS N'ONT FAIT QUE SECOURIR LEURS FRÈRES AZÉRIES FACE A L'ALLIANCE MÉCRÉANTE RUSSO-ARMENIENNE, RACISTE ET FAROUCHEMENT ANTI-ISLAM! LA VÉRITÉ DOIT SE SAVOIR! |
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#216 Re: genocide algerien2011-12-24 14:46 |
antimensonge |
#217 génocide aménie2011-12-24 14:49Il faut absolument parler du génocide de la France en Algérie! IL FAUT SAVOIR QUE 1 TIERS DE LA POPULATION ALGÉRIENNE A ÉTÉ POURCHASSÉE JUSQUE DANS LES MONTAGNES ET EXTERMINÉE PAR LA FRANCE: ON APPELLE CA UN GÉNOCIDE! VIOLS, CATAPULTAGE D'ÊTRES HUMAINS MUSULMANS SUR DES FLANS DE MONTAGNES, IMMOLATION DE PERSONNES VIVANTES MUSULMANE, Atrocité SUR BÉBÉ, FEMMES ENCEINTES, HOMMES, ENFANTS!! GÉNOCIDE QUE LA FRANCE N'A TOUJOURS PAS RECONNU!!!! MAIS ELLE SE TARGUE BIEN DE LE RECONNAITRE! DU MOMENT QU'IL NE S'AGIT PAS DE BLANCS DE TYPE CAUCASIENS DESCENDANTS DES KHAZARS!!!! COMME LES ARMÉNIENS VENUES D'ON NE SAIT Où ET QUI ONT INFILTRéS PLUSIEURS PEUPLES DANS LEURS PAYS, POUR ENSUITE ATTENDRE LE BON MOMENT POUR REVENDIQUER... EUH... PLUTÔT VOLER PAR LA BARBARIE, DES TERRES QUI NE LEUR ONT JAMAIS APPARTENUES!!! JAAAAAAAAAMAIS ET SEUL UN AZÉRIE POURRAIT VOUS LE CONFIRMER PUISQU'ILS ONT ÉTÉ SAUVAGEMENT MASSACRES PAR LES ARMÉNIENS, grâce au soutien armée de leurs frères de sang: les slaves de l'union soviétique, les russes d'aujourd'hui, LES RUSSES BLANCS CAUCASIENS DESCENDANTS DES KHAZARS! Intressant de constater qu'aujourd'hui ce sont des politiciens Français ORIGINAIRES DU CAUCASE QUI Défendent CETTE LOI QUI TOURNE EN FAVEUR DES Arméniens, QUI POUR LE COUP, POURRONT PAR LA SUITE DEMANDER DE L'ARGENT à l’État Turc, en guise de dédommagement. N'oublions pas que les contribuables Allemands paient encore aujourd'hui à l’État d’Israël un dédommagement financier pour la Shoah! Alors? LE PIRE DANS CETTE HISTOIRE, C'EST DE FAIRE LE CONSTAT D'UNE IMMANENCE HYPOCRISIE QUI PASSE Inaperçue AUX YEUX DE LA FRANCE ENTIÈRE!!!! QUELLE EST DONC? LA FRANCE VEUT RECONNAITRE LE GÉNOCIDE ARMÉNIEN PAR LES TURCS, AVEC UNE LOIS QUI OBLIGERAIT QUI QUE CE SOIT A NE PAS NIER LES GÉNOCIDES, MAIS LE PROBLÈME, C'EST QUE POUR QU'UN GÉNOCIDE SOIT Nié, IL FAUT DÉJÀ L'AVOIR JURIDIQUEMENT RECONNU, AUTREMENT çà NE SERT à RIEN DE CRIER AU GÉNOCIDE. ET DE DEUX: AINSI QUICONQUE VOUDRA A SON TOUR DÉNONCER LE GÉNOCIDE DES AZÉRIS PERPÉTRÉ PAR LES ARMÉNIENS AVEC LA COMPLICITÉ DES SOVIÉTIQUES, PARLERA POUR RIEN! nada! walou! Que je sache, LES ARMÉNIENS NE RECONNAISSENT PAS ET NE RECONNAITRONT JAMAIS LE GÉNOCIDE EFFRAYANT QU'IL ONT FAIT EN AZERBAÏDJAN! Pourtant, si vous demandez des renseignements à une association azerbaïdjanaise, ou ambassade peut-être, certains d'entre eux ont des vidéos et archives des ces massacres, ou peuvent en faire envoyer de leur pays et je parle par expérience: j'ai vu des vidéos d'archives où les sinistrés azéries témoignent de l'horreur des massacres qu'ils ont vécu avec les arméniens. A l'époque, c'était un étudiant en géopolitique azérie que je voyais pleurer devant son ordinateur, sans comprendre pourquoi, jusqu'au moment où il accepte de me montrer ce qu'il regardait! CROYEZ MOI QUE LA HAINE DES AZÉRIES, CONTRE SES MENTEURS ET LOBBYISTES ARMÉNIENS, EST GRANDE! J'espère qu'un jour ils paieront pour ce qu'ils on fait IN'CHA ALLAH! Et dire qu'aujourd'hui, quelques expatriés arméniens font pulluler dans le monde, des livres AVEC DE GRANDS MENSONGES, DANS LE BUT DE CONVAINCRE LE MONDE QUE CE SONT DES VICTIMES! MAIS DANS QUEL MONDE ON VIT! CE SONT DES BOURREAUX SANGUINAIRES CHRÉTIENS ORTHODOXES, QUI N'ONT FAIT QU'APPLIQUER LES ORDRES SOVIETS QUI JE NE VOUS LE CACHE PAS ÉTAIENT TEXTO: "TUER CHAQUE MUSULMANS QUE VOUS TROUVEREZ SUR VOTRE PASSAGE". Et voilà qu'en échange d'armes, de terres illégitimes et d'un crime immense, le "NETTOYAGE DE CES SALES MUSLIM" était fait! http://www.azambassade.fr/tinymce/uploaded/sehifeler/Qarabag/Lettre%20du%2016%20octobre%202010.pdf LES TURCS N'ONT FAIT QUE SECOURIR LEURS FRÈRES AZÉRIES FACE A L'ALLIANCE MÉCRÉANTE RUSSO-ARMENIENNE, RACISTE ET FAROUCHEMENT ANTI-ISLAM! LA VÉRITÉ DOIT SE SAVOIR! On pourrait répondre cyniquement à SARKO-FACHO, que "LA FRANCE S'HONORERAIT EN RECONNAISSANT LE GÉNOCIDE ALGÉRIEN!" |
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#2182011-12-24 22:14Chére France!! Avant de te méler des histoire de tes voisins, que tu jalouse,sur des histoire de plus d'un siècle (+ de 100) avec des chiffres non véritables, régle tes histoires et RECONNAIT le Génocide Algérien, tes tests de bombes atomique Outre mer et dans le désert nord africain, etc... le jour ou tu sera parfaite et que tu reconnaitra tes erreurs vient nous voir!!! Cordialement TURQUIE! Quoi qu'il arrive je ne reconnait pas soit disant le "Génocide arménien" Sarkozy si tu reconnait pas le passé dit a ton pere Paul qui te fait un retour en arrière! |
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#2192011-12-25 03:34avant de parler de "génocide" envers les algériens, revoyez plutôt quelle est la definition du mot génocide...non mais quelle ignorance! si vous ne voulez pas reconnaitre le génocide arménien très bien...mais au moins grâce à cette loi vous ne pourrez plus le nier impunément c'est déjà ca!;-) La France a déjà voté une loi contre lé nagation du génocide juif (loi Gayssot) dans un souci d'EGALITE (parceque au cas où les turcs de France l'auraient oublié, l'EGALITE est la base de notre démocratie)...donc par souci d'EGALITE envers les autres génocide (dont le génocide arménien) il été normal de faire passer cette loi... |
ano |
#2202011-12-25 15:43viens pas foutre la m... entre 2 peuples qui savent vivre ensemble malgré tous ceux qui essaient de les monter les uns envers les autres je suis turque, mon médecin est arménien, mon ancien garagiste (retraite) était arménien et dans le coin, celui qui a aidé les turcs à leur arrivée en france était arménien alors viens pas foutre la m.... sarko occupe-toi de tes affaires |
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#221 ano2011-12-25 15:53Le 1er novembre 2011, une proposition de loi « visant à la reconnaissance de la responsabilité de la République française dans le massacre du 17 octobre 1961 » a été déposée au Sénat. Voyons voir si ceux qui parle de génocide arménien, adopteront cette loi !!! |
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#2222011-12-25 20:33Je suis etonner de voir la france mais surtout un president qui şe doit de voir s occupe des interets de la france et de ces citoyens en crise au lieu de cela Le genocide soit disant armenien refait surface juste avant Les elections com part azard !! Pas besoin d aller aussi loin en Algerie il y a eu un genocide ou pas ca serais bien de voir ce qui c passer la bas aussi non? Bref bon courage a la Turquie . Les archives ouverts avec de vrais historiens nous devoilera la verite c Le moment de crever l apset!! |
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#223 Re:2011-12-25 21:29http://blogs.mediapart.fr/blog/laurent-levoyer/251211/joyeux-noel-jean-marie-signe-evax Thématiques du blog0Joyeux Noel Jean-Marie, signé Evax
25 Décembre 2011 Par Laurent LEVOYER
Torture : quatre nouveaux témoins accusent Jean-Marie Le Pen
Article paru dans l'édition du 04.06.02
Victimes de sévices au mois de février 1957, durant la bataille d'Alger, ces anciens militants et sympathisants du FLN affirment aujourd'hui - sans s'être concertés - avoir identifié le président du Front national, alors lieutenant parachutiste, parmi leurs tortionnaires Quarante-cinq ans après, quatre victimes de tortures durant la guerre d'algérie ont livré au Monde leurs témoignages inédits. Ils affirment avoir subi, au mois de février 1957, des sévices perpétrés par des militaires français qui voulaient obtenir d'eux les noms des chefs du fln, dont ils étaient membres ou sympathisants. « Le soir du 2 février, raconte l'un d'eux, une vingtaine d'hommes conduits par Le Pen ont surgi. » Evoquant des tortures à l'électricité, un autre affirme : « Le Pen actionnait l'interrupteur ». Informé de cette enquête, le président du FN a annoncé, dimanche soir 2 juin, un procès en diffamation contre Le Monde, et nié avoir pratiqué la torture. En 2000 et en 2001, il avait perdu les deux procès qu'il avait intentés à l'ancien premier ministre Michel Rocard et à l'historien Pierre Vidal-Naquet. http://medias.lemonde.fr/mmpub/img/let/l.gif... a nuit du 2 au 3 février 1957, à Alger, a-t-elle dépassé en violence toutes les autres ? Elle est en tout cas restée dans les mémoires et illustre ce que des victimes décrivent comme une pratique de la « torture à domicile » qu'aurait mise en oeuvre Jean-Marie Le Pen. Cette nuit-là, une tragédie à huis clos se noue dans trois maisons de la casbah d'Alger, noyau de la résistance à l'armée française. Interrogés séparément, sans s'être concertés, plusieurs témoins font aujourd'hui un récit presque identique de ces événements. C'était le sixième jour de la « grève des huit jours », lancée par le FLN pour tester son influence à Alger.Abdelkader Ammour, 64 ans, enseignant en économie et en sociologie à la retraite, raconte : « J'avais 19 ans, pas de responsabilités au sein du FLN, mais j'étais engagé à ses côtés, comme nous l'étions tous dans la casbah. La maison que ma famille partageait avec deux autres familles se situait au 5 impasse de la Grenade. » « Le soir du 2 février, une vingtaine d'hommes conduits par Le Pen ont surgi », ajoute-t-il, assurant avoir reconnu, quelque temps plus tard, le lieutenant parachutiste sur des photos. Selon M. Ammour, c'est dans une pièce de son domicile que Le Pen l'aurait interrogé ainsi que trois autres suspects, l'un après l'autre. « Ils cherchaient des armes, dit-il, sans savoir encore que dans la maison, ce soir-là, il y avait des responsables de tout premier plan du FLN, en particulier Yacef Saadi [chef de la zone autonome d'Alger], réfugié dans une cache. Le Pen se faisait appeler «Marco». Il respirait la violence. Pour lui, il s'agissait beaucoup plus de nous mater que de nous arracher des renseignements. » Abdelkader Ammour raconte avoir été allongé par terre sur le dos, nu et les mains ligotées sous lui. Il poursuit : « Ensuite, ils ont branché les fils électriques directement sur la prise et les ont promenés partout sur mon corps. Je hurlais. Ils ont alors pris l'eau sale des toilettes, m'ont étalé une serpillière sur le visage et me l'ont fait avaler de force. Le Pen était assis sur moi, il tenait le chiffon pendant qu'un autre versait la flotte. Je l'entends encore qui criait : «Vas-y, vas-y, t'arrête pas !» » Au matin, Abdelkader Ammour et les trois hommes torturés avec lui sont libérés. Entre-temps, l'épouse de l'un d'eux a été violée à l'étage supérieur de la maison, affirme M. Ammour. « Ta femme est exquise ! », auraient-ils lancé au mari avant de quitter les lieux. A quelques pas de là, au 33, rue N'Fissa, la famille Merouane endure la même violence. Selon des témoins, M. Le Pen et ses hommes font, cette nuit-là, la navette d'un domicile à l'autre. Mustapha Merouane, 66 ans, peintre en bâtiment à la retraite, est l'un des rares survivants de cette famille de résistants - des « terroristes » pour l'armée française - qui ont disparu et dont les corps n'ont jamais été rendus à leurs familles. « Ils cherchaient des armes, se souvient-il. Il y avait là des pistolets et des mitraillettes, ainsi que deux ou trois paquets de chevrotines, mais pas les fusils de chasse, ce qui les a mis dans une rage folle. » Mustapha Merouane, alors âgé de 18 ans, est dans un premier temps torturé à l'eau. « Ils m'ont mis un chiffon sur le visage, et versé de l'eau dessus pendant qu'un autre était assis sur moi, raconte-t-il. Ma grand-mère s'est jetée sur eux en hurlant. Alors Le Pen a dit : «Emmenez-le !» » Puis le jeune homme est conduit dans une maison voisine, celle des Amara. « Un oncle des Amara, Hamar Boudjemaa, se trouvait là. Il a protesté. Pour le punir, ils l'ont roué de coups, lui cassant le bras notamment », poursuit M. Merouane, qui affirme avoir entendu M. Le Pen crier : « Maurice, prépare les fils ! » Son récit se poursuit : « Ils m'ont déshabillé et installé sur un sommier métallique. Le Pen actionnait l'interrupteur. Il a ensuite demandé de l'eau qu'il m'a jetée sur le corps, avant de recommencer l'électricité. Je hurlais. » Mustapha Merouane finit par affirmer qu'il y a des fusils de chasse dans sa maison, cachés derrière une armoire. Le Pen et son équipe retournent alors chez les Merouane, en vain. Pour Mustapha Merouane, Le Pen aurait alors perdu son sang-froid. Il aurait dégainé son pistolet, lui aurait posé sur la tempe pour simuler son exécution, avant de s'en prendre à son père qu'il aurait, lui aussi, passé à la « question » pour savoir où se cachaient deux autres de ses fils, Ali et Boualem - qui seront arrêtés un peu plus tard et disparaîtront. Quand se lève le matin du 3 février, arrivent plusieurs civils. « Un type au collier [de barbe] a ordonné de nous embarquer, raconte M. Merouane. On nous a emmenés à Fort-l'Empereur [caserne située sur les hauteurs d'Alger]. J'ai été de nouveau torturé par Le Pen. Mon père aussi. Il y a eu très peu de survivants. On nous donnait du pain et des sardines, sauf pendant un moment où un adjudant a exigé que nous soyons correctement nourris. » Quelques semaines plus tard, son père et quatre autres prisonniers sont conduits hors de leur cellule. « On a entendu des coups de feu, dit-il. Pour moi, il ne fait pas de doute qu'ils venaient d'être exécutés sur place, et puis sans doute brûlés. Ça sentait souvent le brûlé. » Lui sera transféré au bout de trente-six jours dans le camp de détention de Beni-Messous, puis celui de Paul-Cazelles, où, dit-il, « c'était l'enfer, même s'il n'y avait plus de séances de tortures ». Mohamed Amara avait 18 ans quand il a été arrêté au domicile familial du 3, rue Ben-Ali, dans la casbah, cette même nuit. L'un de ses frères, Ali, dit Alilou, joue un rôle important au sein du FLN mais, cette nuit-là, il est absent de la maison. Faute de le trouver, les paras embarquent le jeune Mohamed et un autre de ses frères, Saïd, 24 ans, puis se rendent à Fort-l'Empereur. Là, Saïd est torturé, mais pas Mohamed, qui se souvient qu'après cette séance, son frère était devenu « méconnaissable ». Quelques heures plus tard, Saïd Amara est ramené à son domicile de la casbah, où il retrouve Mustapha Merouane. « On a amené chez nous en pleine nuit l'un de nos voisins, Mustapha Merouane, que Le Pen a torturé chez nous, raconte Mohamed Amara. Un de mes oncles maternels, Hamar Boudjemaa, qui se trouvait là, s'est interposé, et a été passé à tabac... » Saïd est ensuite à nouveau transféré à Fort-l'Empereur. Là, il va subir d'autres séances de tortures avant de disparaître, « abattu alors qu'il cherchait à s'enfuir », selon la version officielle. Mohamed Amara restera, lui, dix-neuf jours à Fort-l'Empereur. Ses compagnons de cellule auraient « tous été torturés par Le Pen », dit-il - à l'électricité, à l'eau et au chalumeau.
FLORENCE BEAUGE |
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#2242011-12-25 21:42la france, a bafoue les droits de l homme , depuis toujours. soutient l imperialisme arabe qui regne en afrique du nord amazigh.aussi en egypte. liban.syrie.ect. |
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#225 Re: ano2011-12-25 21:5417 octobre 1961 : Des Français demandent la reconnaissance officielle du massacre d’AlgériensDimanche, 16 Octobre 2011, 09:01 | Mohammed Yefsah
http://www.dna-algerie.com/images/stories/17octobre.gif... Des appels et des projets de loi pour la reconnaissance officielle par la France du massacre d’Algériens le 17 octobre 1961 à l’occasion du cinquantième anniversaire de cette manifestation sanglante à Paris. Officiellement, la tragédie a fait trois morts et 64 blessés. Mais selon divers historiens, notamment Jean-Luc Einaudiqui, la répression a fait plusieurs centaines de victimes. Le projet de loi des communistes. Un projet de loi pour « la reconnaissance de la répression d'une manifestation à Paris le 17 octobre 1961 », a été déposé au Sénat français par le parti communiste (PCF) le 7 octobre dernier. Le projet de la sénatrice de Paris, Nicole Borvo Cohen-Seat se décline en trois articles de loi : « La France reconnaît le massacre de centaines d'Algériens, perpétré par la police française sur ordre de ses supérieurs, lors de la manifestation du 17 octobre 1961 à Paris », le second article « Un lieu du souvenir à la mémoire des victimes du 17 octobre 1961 est créé » et le troisième « Les programmes et manuels scolaires d'histoire intégreront cet événement ». La répression de cette manifestation pacifique fut « d'une extrême violence », « préméditée et coordonnée », « loin de la bavure », estime la députée communiste dans son projet de loi, dont la proposition, passée inaperçue, est en réalité une annexe du procès-verbal de la séance du 12 octobre 2006 au Sénat. Le but de cette loi est non seulement de rendre un hommage aux victimes, mais une démarche pour le « rapprochement entre le peuple algérien et le peuple français ». « Ce serait un acte de concorde entre les deux peuples », précise le document.
L’appel des sénateurs d’Europe Ecologie –Les Verts Dix sénateurs Europe Ecologie-Les Verts ont demandé vendredi 14 octobre la reconnaissance officielle du 17 octobre 1961. « Ce massacre enfoui au plus profond de la mémoire collective, effacé des livres d'histoire, ignoré des plus jeunes, constitue l'un des plus importants crimes d'État commis dans la France moderne » et « demeure à ce jour totalement impuni », déclarent-ils. « La République française s'honorerait à reconnaître officiellement l'existence de ce crime qui entache son honneur, afin qu'en cette commémoration du 50e anniversaire, justice soit enfin rendue à ces citoyens algériens morts d'avoir voulu manifester pacifiquement pour le droit à l'indépendance de la nation algérienne » ajoutent-ils. Les élus demandent également le libre accès pour les historiens aux Archives de la préfecture de Police estimant « que la plus grande transparence doit être faite sur ces événements ». Ils exigent enfin la dissolution de la Fondation pour la mémoire de la guerre d’Algérie, mise en place par la loi du 23 février 2005 qui promouvait le « rôle positif de la colonisation ». L’appel de Mediapart L’« Appel pour la reconnaissance officielle de la tragédie du 17 octobre 1961 », lancé par le site d'informations Mediapart pour le « souvenir » et pour l'apaisement entre la France et l'Algérie, a été signé par des dizaines de personnalités dont Raymond Aubrac ou Stéphane Hessel. « La répression policière de cette protestation non violente est une des pages les plus sombres de notre histoire. Longtemps dissimulée à l'opinion et désormais établie par les historiens, elle fut féroce: 11.000 arrestations, des dizaines d'assassinats, dont de nombreux manifestants noyés dans la Seine, tués par balles, frappés à mort », est-il écrit dans cet appel. Reconnaissance officielle de cette tragédie « Le temps est venu d'une reconnaissance officielle de cette tragédie dont la mémoire est aussi bien française qu'algérienne. Les victimes oubliées du 17 octobre 1961 travaillaient, habitaient et vivaient en France. Nous leur devons cette justice élémentaire, celle du souvenir », est-il ajouté. « Reconnaître les crimes du 17 octobre 1961, c'est aussi ouvrir les pages d'une histoire apaisée entre les deux rives de la Méditerranée », selon ce texte qui appelle à « construire une nouvelle fraternité franco-algérienne ». Publié mercredi, il a déjà été signé par plus d'une centaine de personnalités, parmi lesquelles le résistant Raymond Aubrac, l'ambassadeur et écrivain à succès d'"Indignez-vous!" Stéphane Hessel, le sociologue Edgar Morin, le philosophe Régis Debray ou l'ancien premier ministre Michel Rocard. Crânes fracassés Jetés dans la Seine, tués par balle ou morts le crâne fracassé par des manches de pioche ou des crosses de fusils : 5O ans après, une chape de silence officiel pèse toujours sur la sanglante répression de cette manifestation d'Algériens à Paris. Le bilan officiel est de trois morts et 64 blessés. Cent personnes sont mortes du fait des exactions de la police, soutiendra en 1988 Constantin Melnik, qui fut conseiller pour la police et le renseignement au cabinet du premier ministre Michel Debré pendant la guerre d'Algérie. Le bilan réel se situe probablement autour de 200 morts, voire « plusieurs centaines », selon Jean-Luc Einaudi qui a levé le voile sur cette tragédie en publiant en 1991 « La bataille de Paris ». La position de la France est celle de Papon Pour l'historien Jean-Luc Einaudi, la position de l'Etat français reste « celle de Maurice Papon, il y a 50 ans ». Ex-préfet de police de Paris (1958-1967), Maurice Papon, mort en 2007, avait été condamné à dix ans de réclusion criminelle en 1998 pour « complicité de crimes contre l'humanité », en raison de son rôle dans la déportation de 1.690 juifs de Gironde. Lors d'un procès que Maurice Papon a intenté en 1999 à Jean-Luc Einaudi, le représentant du parquet a été amené à reconnaître que des massacres avaient été perpétrés par des policiers. Quelques temps après, en 2000, le Premier ministre Lionel Jospin, a évoqué des « dizaines de morts algériens ». L'historien « espère que la position officielle va évoluer » mais n'a « guère d'illusion à ce sujet. Je n'ai pas l'impression que le pouvoir actuel soit animé par une volonté de vérité concernant cette période. Il faut une volonté politique suffisante au plus haut niveau de l'Etat pour que toute la lumière puisse être faite. Je ne suis pas confiant. Le climat pré-électoral n'est pas propice à des évolutions significatives, surtout qu'une partie des électeurs du Front National n'a pas digéré l'indépendance de l'Algérie ». Avec AFP Lire l'article original : 17 octobre 1961 : Des Français demandent la reconnaissance officielle du massacre d’Algériens | DNA - Dernières nouvelles d'Algérie |
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